I'm Back! [Fini]

Invité

On peut le dire depuis quelques temps Narcisse avait littéralement disparut seul sa famille savait où il était, il n’avait pas eu le temps de prévenir sa lionne ce qui il en était sur allait lui coûter très cher. Sur ce point il n’y avait aucun doute mais quitte à savoir ce qu’elle allait lui faire là c’était un véritable mystère pour le vert et argent.

Il vagabondait dans les couloirs à la recherche de sa sang et or préféré, elle lui avait manqué pendant son absence. Il avait attendus devant sa salle commune, avait chercher dans le parc, près du lac et même à la bibliothèque mais il ne l’avait pas trouvé pour le moment. Il se demandait si elle lui en voulait beaucoup de ne pas avoir montrer le moindre signe de vie depuis noël, surtout après qu’ils aient fait ce qu’ils avaient fait…

Mais comment lui expliquer?...

Flash Back

Narcisse marchait dans les rues de Londres, il se rendait chez l’une de ses cousine avec qui il entretenait de très bons rapports. C’était encore l’hiver, c’était les vacances, il y avait de la neige qui recouvrait toute l’avenue. C’était superbe, Narcisse marchait les mains dans les poches, se demandant si sa cousine allait apprécier le présent de noël qu’il lui apportait. Mais ses pensées furent dissipées quand il vit un jeune enfant au milieu de la route. Hélas Narcisse n’avait pas sa baguette sur lui, son frère le lui avait chapardé… Il n’eu pas le temps de réfléchir, il se précipita sur la route et poussa l’enfant plus loin pour l’éloigner de la route mais comme il s’en doutait, une voiture le heurta. Deux semaines plus tard il s’était réveillé à Sainte mangouste, il était guéri et ne garderait de cet incident que quelques cicatrices, et quelques hématomes endoloris qui eux disparaîtraient plus tard. Son frère était à son chevet, lui tenant la main, endormit. Narcisse se pencha vers lui et lui susurra son nom à l’oreille, son jumeau ouvrit alors les yeux et lui sauta dans les bras…

Fin du Flash Back

Personne hormis les professeurs et sa famille ne savaient ce qui s’était produit et Narcisse préférait qu’il en soit ainsi. Il avait sauvé l’enfant oui, il aimait une gryffondor oui mais il ne voulait pas de la sympathie des élèves de cet établissement, Narcisse restait toujours Narcisse et les élèves de cette école le dégoûtait toujours autant, rien n’avait changé de se côté-là.

Il marchait d'un pas lent dans les couloirs, le smains dans les poches, en se demandant où pouvait bien être sa douce lionne, enfin douce façon de parler ...

- ON T'AS JAMAIS APPRIS LES BONNES MANIÈRES TOI?! T'es tout jeune et tu penses déjà à ça! Tu vas te faire des filles d'une nuit et leur offrir un bague en retour je suppose?!?!?!?!

- NARCISSE HYDE ROGUE!

- ÇA FAIT DEUX SEMAINES QUE JE N'AI PLUS AUCUNE NOUVELLES DE TOI!

- Je... Je t'aime tellement Narcisse!

Invité

Narcisse continuait d’avancer tranquillement attendant avec impatience de revoir sa sang et or bien qu’il est quelques appréhension sur ce qu’elle allait lui faire quand elle le verrait… Il se retourna en entendant une voix féminine prendre la parole et se mettre à crier. Narcisse avait immédiatement reconnue la voix de Gabrielle, il se retourna et regarda la scène entre le premier année et sa lionne. Franchement là mettre les voiles ne seraient pas une si mauvaise idée, pourquoi ne pas lui écrire une lettre plutôt ? XD Le pauvre enfant n’empêche, elle passait ses nerres sur lui alors qu’il n’avait rien demandé. L’enfant se mit à courir en pleurant dans la direction de Narcisse, bizarrement la pitié qu’il avait ressentit pour le jeune enfant se dissipa quand cet idiot eu l’idée de courir dans sa direction.

- NARCISSE HYDE ROGUE!

Ça y est, c’était son heure, il allait se faire tuer, lui qui était si jeune et surtout si beau, il ne méritait pas ça… Quand une femme vous appelle en ressortant l’un de vos autres prénoms c’est très, mais vraiment très mauvais signe.

- ÇA FAIT DEUX SEMAINES QUE JE N'AI PLUS AUCUNE NOUVELLES DE TOI!

Les souffrances physiques commençaient, Narcisse se retenait de montre le moindre signe de douleur alors qu’elle frappait à un endroit encore très douloureux depuis l’accident, mais après tout elle ne pouvait pas savoir, et d’ailleurs il ne contait pas lui dire. Alors il resta là, la laissant se calmer, sans broncher une seule fois. Au bout d’un instant elle cessa et lui sauta dessus, heureusement qu’il avait prévu le coup et qu’il s’était mis en appuis stable sur ses jambes sinon ils seraient tombés tout les deux sur le sol.

- Je... Je t'aime tellement Narcisse!

Narcisse la serra dans ses bras, fermant les yeux, respirant son parfum qui semblait être devenu une drogue, allongé dans son lit d’hôpital il avait sans cesses se fichue parfum en tête. Elle lui avait énormément manquée, Narcisse rouvrit lentement les yeux, il n’avait pas encore complètement répondu à ses questions, et cet accident n’avait fait que semer encore plus de doute dans l’esprit déjà tellement confus du jeune vert et argent.

Certaines personnes après ce genre d’accident se disent qu’il faut vivre sa vie à fond à présent, car ils ont vu la mort de si près qu’ils en ont sentit l’haleine putride. Mais dans l’esprit de Narcisse ce n’était pas ainsi, il se disait en ce moment même que cela faisait seulement deux semaines qu’ils ne s’étaient pas vu et ça avait été déjà tellement difficile, cette dépendance le faisait ragé et lui faisait peur en même temps. Et si ils s’aimaient et qu’un jour l’un d’eux venait à mourir jamais l’autre ne pourrait s’en remettre, ce serait gâché deux vies alors qu’une seule c’est véritablement éteinte… Devait-il s’éloigner d’elle, si il le voulait réellement il ne serait pas entrain de la serrer dans ses bras en ce moment même.

Il se détacha légèrement d’elle pour voir son visage, il glissa une main sou les yeux de la jeune sang et or pour effacer ses larmes, il posa son front contre le sien fermant les yeux un court instant, puis il approcha ses lèvres de celles de la jeune fille et l’embrassa tendrement. Elle voudrait certainement des explications sur sa soudaine absence, et lui il se contenterais de lui mentir avec de la sincérité dans son regard aussi fausse soit-elle.

Rien que le fait de sentir les bras protecteur de l'amour de sa vie l'entouré elle savait ce que voulait dire cette réponse. Elle avait vraiment eu peur à un moment qu'il décide de la laisser et c'était pourquoi il ne lui avait plus parler. Étrangement il y avait une force entre eux qui les rendaient inséparales. Pour sa part, elle voulait passer tout le reste de jour à ses côtés c'était certain, elle savait que sa passion pour lui ne s'éteindrais jamais. Le baiser que le vert et argent ne fit qu'attiser la flamme pour qui son coeur battait. Il fallait avouer qu'elle c'était abstenu niveau sexe et rien que le fait de se trouver si près de Narcisse lui donnait des envies affreusements perverses! Mais elle devait ce concentrer parce qu'elle voulait savoir la raison de ce silence...

Mais étrangement toutes les fois on son regard se posait sur son coprs elle le voyait complètement nue. Elle n'était vraiment pas gênée de ces hallucinations parce qu'après elle l'avait déjà vu nu et plus encore... Par contre elle pouvait difficilement regarder son amoureux nul part parce qu'elle ne pourrait plus se retnir. C'était certain que le vert et argent remarquerait son regard fuyant mais surtout attisé comme la braise... Tous ses gestes tendres qu'il avait fait quelques secondes auparavants étaient envolé par les pensées incène de la blonde... Et en plus ils étaient dans un couloir assez passant donc la premiere mission était de se trouver un endroit tranquile. Elle le tira par le bras jusqu'à un couloir sombre et le poussa violement sur le mur ne pouvant plus retenir des élants doux... Elle le regardeait sans gêne maintenant de haut en bas en se pincant la lèvre inférieure de désir... Pourquoi est-ce qu'elle n'était pas capable de ce concentrer rien qu'un instant?!

Elle était attirer par ses lèvres, elle avait l'impression qu'un aimant la forçait à s'appsocher d'elles... Ce qu'elle fit un peu trop brusquement ne pouvant aucunement se retenir. Elle passa les mains sur chaque partie de son corps en terminant par son entre-jambes qui lui mainquait tant... Un petit massage ne serait certainement pas de refus mais ce n'était aps le moment! Elle dit d'un ton extrêmement excité en sensuel:

-Pourquoi je peux plus me concentrer quand tu es là?!

Elle le regarda d'un air éloquent et lui fit un sourire gêné. Gabrielle avait maintenant commencé à caresser l'entre-jambes de son partenaire qui ne semblait pas vouloir enlever sa main de là. Pourtant durant un cours instant elle se rappella l'inquiétude qu'elle avait vécu lorsqu'il n'avait donné signe de vie... C'est pourquoi elle se dégega difficilement de lui avec un visage contrarié. Elle prit la parole sur un ton assez indéchiffrable qui semblait être étouffé par une quelconque raison.

-Ou étais-tu durant ces deux semaines?! Je me suis fait pleins d'idées! Je croyait que tu m'évitais parce que ne voulais plus de moi!

Sa voix se brisa dans un étrange soupir, il était tellement beau mais elle était triste... Elle ne put que se retourner dos à lui pour ne plus succomber à la tentation encore présente parmis elle...

Invité

Narcisse, qui à vrais dire avait très envie lui aussi de passer un petit moment privilégié avec sa lionne, fut très surpris du changement brutale de son comportement. D’abord elle était en colère, puis elle pleurait, et maintenant elle l’emmenait dans un couloir désert et sombre pour le couvrir de tout son désir. Mais peu importait à Narcisse, elle avait éveillé en lui un immense désir alors il n’allait pas la repousser pour tenter de la comprendre.

Pourquoi je peux plus me concentrer quand tu es là?!

Narcisse sentait le désir monter en lui, ses mains glissant sur le corps de la sang et or sans y accéder pour autant, à cause de cette couche de vêtements qui le gênait, Narcisse décida d’en faire fit et passa ses mains sous la chemise de la jeune femme, parcourant son dos, puis plaquant ses mains sur les fesses de la jeune femme pour la coller un peu plus contre lui. C’est là qu’elle se mit à se saisir de son intimité, et à lui caresser, Narcisse brûlait de désir, mais d’un seul coup elle s’éloigna. Narcisse la regardant interloqué pourquoi arrêtait-elle soudainement ?

-Ou étais-tu durant ces deux semaines?! Je me suis fait pleins d'idées! Je croyait que tu m'évitais parce que ne voulais plus de moi!

C’était bien le moment de penser à ça, non mais vraiment les femmes ! Narcisse s’approcha d’elle et l’entoura avec ses bras, elle était dos à lui apparemment elle ne voulait plus le regarder. Il savait qu’elle voudrait des réponses à un moment ou à un autre il regrettait seulement qu’elle le fasse à cet instant là … Narcisse posa son visage dans le creux de la nuque de la sang et or.

« J’étais chez ma cousine à la montagne et j’ai eu un petit accident de ski, je sais que j’aurais tu te prévenir mais je n’ai pas eu l’occasion de le faire »

Narcisse avait dit cela avec un tel naturel que ça l’aurait presque convaincu lui-même. Si il lui disait la vérité elle le prendrait pour ce qu’il n’est pas, c'est-à-dire une personne bienveillante, il était gentil avec elle et maintenant il sauvait un enfant, non vraiment il préférait qu’elle évite de se faire de fausses idées, Narcisse n’était sympa qu’avec certaines personnes, des personnes proches de lui, comme sa famille et maintenant elle également mais c’était différent avec les autres.

Gabrielle se sentait flenchir de plus en plus à chaques secondes. L'infime attente d'une réaction de la part du vert et argent parraissait éternellement long pour la sang et or qui se languissait de désir. Elle savait aussi qu'elle avait dpu éveiller en son chérie des sensations agréables lors de sa courte intermission qu'elle avait mis fin brusquement. Elle se trouvait tout de même courageuse d'avoir seulement eu la force de reculer de lui. Par contre lorsqu'il posa son visage dans le creux de sa buque elle ne put retenir un frissonement qui fit vibrer tout son corps. Elle ferma les yeux et se mordit violement la lèvre à ce contact jamais elle ne pourrait rester de marbre face à se contact. Surtout que cette partie de son corps était tellement érogène qu'un simple éffleurement la rendait totalement dingue. Elle redoutait le moment ou il prendrait la parole, enfin elle faisait semblant de le redouter car à vrai dire elle n'attendait juste qu'il lui dise la vérité. Enfin si seulement il lui avait dit la vérité il aurait tellement put éviter des peines futures... Elle ne l'aurait pas cataloguer comme elle pensait non il aurait même eu droit à une petite gâterie... Quoique de toute façon dans l'esprit de Gabrielle il n'en aurait tout de même une ce soir XD

« J’étais chez ma cousine à la montagne et j’ai eu un petit accident de ski, je sais que j’aurais tu te prévenir mais je n’ai pas eu l’occasion de le faire »

Une nouvelle fois elle pris son chéri par le bras sans se renourner jusqu'à entrer dans un placard, subtile ma chère subtile. à l'abri des regards dans cet endroit la gryffondor se retourna vers Narcisse la mine déconfite avant d'ajouter:

-Je suis tellement désolé mon amour! J'ai agis comme une idiote... Pauvre... Pauvre joli corps...

Bon ça y était elle l'avait une nouvelle fois imaginé nu... Elle s'avança tranquilement vers le vert et argent comme si de rien était avant de s'attarder immédiatement au boutons de sa chemise. Celle-ci fut rapidement enlevée, Narcisse se laissait une nouvelle fois faire comme si ses gestes étaient bloqués. À cet instant elle vit les ématomes sur son si joli torse musclé... Elle avait toujours la mine aussi triste lorsqu'elle aposa de doux baiser sur chaques bleus qui trônait sur son chéri...

Invité

Narcisse ne voulait pas qu’elle se sente mal du fait qu’elle est réagis ainsi, il comprenais qu’elle pouvait lui en vouloir de ne pas avoir donné signe de vie, c’était normal, mais maintenant la jeune femme s’en voulait d’avoir été si brutale avec lui, lui personnellement il ne lui en voulait absolument pas une minute d’avoir agit ainsi, après tout il connaissait le tempérament de feu de la jeune femme et ne pouvait s’attendre à une réaction différente de celle qu’elle avait eu il y a quelques instants.

Il se laissa entraîner dans le placard, comprenant bien évidement les intentions de la sang et or.

-Je suis tellement désolé mon amour! J'ai agis comme une idiote... Pauvre... Pauvre joli corps...

C’était à présent le désir qui reprenait le dessus sur la jeune lionne, laissant le vert et argent en ressentir les effets, les lui faisant partager. Elle lui ôta rapidement sa chemise et à la surprise de Narcisse elle se mit à embrasser chaques hématomes encore visibles qui séjournait sur le torse de Narcisse, le contact des lèvres encore chaudes de la jeune sang et or faisait frissonner Narcisse. Narcisse l’arrêta, remontant le visage de la jeune femme à son niveau. Il ne pouvait pas attendre une seconde de plus, il lui fallait ses lèvres. Il pencha son visage vers celui de la jeune femme et captura ses lèvres, il l’embrassa avec désir, avant de se reculer pour ôter à son tours le haut d’uniforme de la jeune lionne, il la serra ensuite contre lui, sentant sa poitrine, encore couverte par un soutien gorge noir, se presser contre son torse. Il embrassa la nuque de la jeune femme et commença à lui aire un suçon dans le creux de son cou. Ses mains quand à elles se baladaient dans le dos de la jeune sang et or pour finir par se poser sur les fesses de la jeune femme. Il souleva sa jupe d’écolière, sentant à présent le contact des sous vêtements de la jeune femme, il infiltra ses main entre le tissu et la peau de la jeune sang et or. Il glissa ensuite sa main gauche le long de la cuisse de la jeune femme pour la remonter et la coller contre lui encore plus.
Il sentait que son pantalon était à présent bien trop serrer pour lui et que seul leurs vêtements empêchaient leurs intimités de se rencontrer.

[HRP: Désolé c'est vraiment court mais je voulais pas te faire réagir, je me reprendrai au prochain!]

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Narcisse stoppa le moindre de ses gestes, il regarda intriguer le suçon intrus de la sang et or, il leva son regard pour croiser celui de la jeune femme, cherchant une réponse dans son regard, mais il ne voyait qu’une chose, une chose qui sembla lui arracher le cœur, de la culpabilité… Narcisse enleva ses mains du corps de la jeune femme et recula autant qu’il le pouvait dans se minuscule placard. C’était comme un coup de poing, un choc, il n’arriverait pas à décrire avec exactitude ce qu’il ressentait à ce moment là. Et cette sordide voix dans sa tête refit son apparition, elle lui murmura que ce n’était pas étonnant, qu’il savait très bien que comme tout les autres elle finirait par le décevoir, alors pourquoi était-il si surpris et si blessé. Il tourna la tête, ne regardant plus la jeune femme avant de prendre la parole comme on cracherait du venin :

« C’est bien ce que je crois ? »

Pourquoi pose tu la question idiot lui susurra cette maudite voix. Il ne voulait même plus la regarder croiser son regard, il ne pouvait effacer le dégoût qui s’affichait sur son visage pourtant impassible d’ordinaire. Pourquoi lui avait-il fait confiance ? Pourquoi était-il aller aussi loin avec elle, étrangement il ne trouvait plus de réponses à ses questions.

« C’est bien ce que je crois ? »

- Oui, je...

- J'aurais pas dû... Je me suis laissé aller et j'ai pas pu dire non... Je t'en pris crois moi: je m'en veux! Je ferai tout ce que tu veux, je t'en pris ne me laisse pas à nouveau seule... J'ai tellement besoin de toi!

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- Oui, je...J'aurais pas dû... Je me suis laissé aller et j'ai pas pu dire non... Je t'en pris crois moi: je m'en veux! Je ferai tout ce que tu veux, je t'en pris ne me laisse pas à nouveau seule... J'ai tellement besoin de toi!

Qu’elle fasse ce qu'il veut ? alors qu'elle disparaisse, c'était son souhait le plus chère à ce moment précis, qu’elle n’ai jamais croisé sa route, qu’elle n’ai jamais eu l’idée de le … de le… rendre amoureux d’elle… Narcisse sentait tellement de rage en lui, contre elle, contre lui-même. Il ne voulait pourtant pas lui faire de mal à elle, en tout cas pas physiquement, il ne pourrait pas la blesser, même si à cet instant il en avait tellement envies, la voir souffrir aurait amoindri sa peine ? il en doutait fortement, il vit les larmes de la jeune femme, étrangement même avec toute la colère qu’il ressentait pour elle il ressentit un pincement au cœur. Ils n’auraient jamais du sortirent ensemble, laisser les choses aller aussi loin, il n’arrêtait pas de ce le répéter intérieurement.
Comment ?

« Comment j’ai pu être aussi con ! »

hurla-t-il

Sans pouvoir se contrôler il jeta tout ce qu’il trouvait, sur les étagères autours d’eux, sur le sol, il donna des coups contre le mur en face de lui. Jamais il n’avait ressentit autant de rage, jamais il ne l’avait autant exprimé, à part peut-être devant son frère, cet idiot devant lui il faisait toujours tout, c’était bien le seul qui ne le décevait jamais. Il s’arrêta de cogner le mur, les mains recouvertes de son propre sang, haletant, il tentait de reprendre son souffle et son calme par la même occasion. Il releva la tête et la regarda, elle qui se tenait immobile dans ce placard si sombre, avec dégoût il lui dit simplement dans un murmure :

« va-t-en… »

Il ne voulait pas qu’elle reste, il voulait être seul. Il fallait qu’il se calme, mais la haine ne s’éteint pas si facilement plus l’attachement est grand plus la déception ressentit l’est tout autant. Il l’avait toujours été après tout alors pourquoi avait-il voulut que sa change, par espoir qu’elle soit différente ? L’espoir c’est fait pour les rêveurs et les poètes, pas pour les gens comme lui…

« Comment j’ai pu être aussi con ! »

« Va-t-en… »

- Je m'en vais mais saches une chose: jamais rien ne pourras enlever mes sentiments à ton égard. Je t'aime...

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Narcisse ne bougea pas quand elle s'approcha de lui, il regarda dans le vague, ne voulant plus poser son regard sur elle. Il aurait préféré qu'elle parte sans un mot mais il ne pouvait l'empêcher d'être elle même. Le contact de la jeune femme lui sembla étrange. C'était différent de ce qu'il ressentait d'habitude au contact de la sang et or, comme si tout avait déjà changé en lui.

- Je m'en vais mais saches une chose: jamais rien ne pourras enlever mes sentiments à ton égard. Je t'aime...

Pourquoi est-ce qu’il fallait qu’elle lui dise ça, là maintenant ? Quand elle sortit de la pièce Narcisse se laissa tomber par terre. Il resta à terre pendant plusieurs minutes, peut-être plus encore il n’aurait su le dire, la sang et or avait le don pour lui faire perdre la notion du temps mais cette fois pas comme il l’aurait souhaité.

Il se redressa, saisit sa baguette en main. Il sortit du placard, il souhaitait à chacun de ne pas le croiser à cet instant car il allait devoir passer ses nerfs, d’un moyen ou d’un autre.

Il se dirigea d’un pas pressé vers les cachots, il voulait s’isoler dans son dortoir, rester seul se calmer, il fallait qu’il se calme, malgré le temps qui passait la colère qu’il ressentait n’était pas passé, et ça à son plus grand regret.

Il traversa le château, ne croisant personne comme si sa prière était exaucé, après ce qu’il venait de subir c’était la moindre des choses que Merlin pouvait lui accordé. Il n’avait même pas fait attention au fait qu’il soit torse nu et que son pantalon soit ouvert, il s’en moquait de toute façon, il n’était pas en état de réfléchir à se genre de chose.