dans la nuit....

Minuit est toujours aucune envie de trouver le sommeil. Allongé sur son lit, Sheila contemplé son plafond, triste et lugubre comme le fond de sa pensée. Tel celui d'un véritable serpentard. Minuit, dans la chambre, un calme plat règne en maitre, rien de tel que le silence pour se plonger dans ses pensées. mais lorsque ces dernières son piétiné par un souvenir récurant, difficile de vraiment penser. Ce souvenir douloureux qui hante sheila depuis bien trop longtemps déjà. ce souvenir qui la rend si froide, encore plus froide.. Des images qui vous assaille en permanence...c'est aussi pour cela qu'a minuit on ne parvient pas à trouver le calme, la paix d'esprit pour trouver une parcelle de sommeil.

Une image bien particulière envahissant son esprit, un visage familier, bien trop familier...le visage d'un jeune garçon dont le sourire bien marqué au début, s'effondre avec le temps et dans un temps extrêmement cours, un visage heureux qui laisse à la pâleur de la mort, sa froideur, sa raideur. Ce visage n'était autre que celui de son frère, celui-la même qu'elle avait vu mourir devant ses yeux, devant l'impuissance de ses parents...ce même évènement qui la rendait si froide à ce jour.

Le calme qui régnait l'instant d'avant dans le dortoir, avait laissé place au ronflement particulièrement bruyant d'une première année, cette même première année qui chaque matin s'octroyait une certain place qu'elle ne tenait en rien, un jour elle tomberait de bien haut, cela sheila ce l'était promis. Devant ce vacarme, il était impossible de pouvoir penser à quoi que ce soit, ce calme qu'elle appréciait temps, il lui fallait le trouver ailleurs.. Sortant avec discrétion du dortoir, seulement vêtu de sa nuisette, elle pénétra dans la salle commune, calme et chaleur, voilà comment en cette instant, il était possible de décrire cette pièce. Elle se posa un instant sur le canapé , regardant le feu...l'espace d'un instant, elle cru apercevoir le visage de son frère, mais un visage beaucoup plus vieux que dans son souvenir, le doute alors s'installa en elle, un doute grand comme une goutte d'eau créant des ricochets dans son esprit, remettant alors en cause la mort de son frère...

"STOP"

Cela, elle l'avait criait, sans vraiment s'en rendre compte, ce fut le silence plus pesant après, qui lui en fit prendre conscience de l'instant. Se relevant alors brusquement, elle devait à tout pris sortir d'ici , se retrouver dans la fraicheur , cela lui ferait certainement reprendre ses esprit. Le portrait à présent passé, elle avançait dans les couloirs des cachots, elle finit par pousser la porte d'un cachot abandonné, ou presque, pour seul meuble, une chaise, un bureau et un vieux fauteuil, c'est dans ce dernier que Sheila s'installa...Elle n'entendit pas le grincement de la porte, ou fit mine de ne pas l'entendre...

Il était près de minuit lorsque Naëlle se réveilla en nage et complètement entortillée entre les draps aux couleurs de Serpentard après un cauchemar dont elle n’arrivait pas à se souvenir. La Serpentard cligna des yeux, surprise par la lumière qui inondait la pièce en plein milieu de la nuit. Son regard tomba alors sur le centre du dortoir qu’elle occupait depuis maintenant sept ans éclairé par une bougie qui restait allumé en toute circonstance et elle comprit qu’elle avait oublié de fermer les rideaux de son lit en se couchant.
La jeune fille se débattu alors quelques instants avec ses draps avant d’arriver à s’en dépêtrer. Elle posa ses pieds sur le sol en pierres froides du dortoir et un frisson la traversa. Mais n’y prenant pas garde, elle se leva et sortit de la pièce discrètement pour entrer dans la salle de bain attenante. Elle ouvrit un des robinets et se passa de l’eau fraîche sur le visage, puis quitta enfin le dortoir. Naëlle prit les escaliers en direction de la salle commune et s’immobilisa au centre de la pièce. Que pouvait-elle faire maintenant ? Passer la fin de sa nuit dans un des fauteuils de la salle commune ne lui disait rien. Elle fit alors volte face pour retourner dans son dortoir où elle revêtit silencieusement sa robe de sorcier. Elle ressortit définitivement de la chambre et se dirigea ensuite directement vers le pan de mur qui cachait l’entrée de la salle commune des Verts et Argents. Arrivée dans le couloir faiblement éclairé, Naëlle s’interrogea sur l’endroit où aller, puis se faisant la remarque que le concierge devait encore traîner dans les couloirs à cette heure-là, elle décida de descendre dans les cachots abandonnés…C’est pieds nus qu’elle s’achemina à travers les nombreux escaliers qu’elle devait descendre pour atteindre les cachots isolés. Au bout d’un certain temps, l’air devint plus humide et la jeune fille devina qu’elle était arrivée là où elle voulait. Elle passa devant plusieurs salles aux portes fermées avant de se figer face à une porte entrouverte…

Naëlle recula de quelques pas, comme pour fuir l’endroit. Puis se ravisa. Le concierge ne s’aventurerait jamais jusque là, encore moins un professeur, à cette heure de la nuit. Elle posa alors sa main, dont la pâleur trancha avec le bois sombre de la porte, et la poussa doucement. Un grincement résultat de la manœuvre, amplifié par le silence qui régnait auparavant. La respiration de la Serpentard s’accéléra et elle s’avança de quelques pas dans la pièce pour apercevoir le mobilier. Un bureau, une chaise et un vieux fauteuil…Un vieux fauteuil dans lequel reposait une silhouette recroquevillée. Naëlle s’approcha sur la pointe des pieds et prit place sur le bureau. Assise, les mains posées en arrière, elle ferma les yeux et se laissa aller quelques minutes au calme qui régnait dans la pièce. Lorsqu’elle rouvrit les yeux, ils se posèrent sur la silhouette et elle reconnut alors Sheila Low, la préfète de sixième année. Fronçant les sourcils, Naëlle se demanda ce qu’elle faisait là…Et les mots se bousculèrent sur ses lèvres sans qu’elle ne les retiennent, brisant ainsi l’agréable tranquillité du cachot :

Qu’est-ce que tu fais ici, à minuit ?

Elle avait murmuré, mais elle avait pourtant l’impression d’avoir crié tant le silence qui avait précédait sa phrase était profond. Naëlle se mordit légèrement la lèvre inférieure, regrettant sa question. Elle était ridicule et déplacée…Mais elle attendit tout de même une réponse et ne quitta pas la préfète des yeux…

Assise dans le fauteuil, elle ne pensait à rien, ou du moins elle essayait de ne penser à rien...pas évident lorsqu'une foule d'image vous envahit l'esprit. Elle essayer de les oublier en fredonnant pour elle-même dans sa tête, une mélodie bien particulière à son enfance, celle que son père lui chantait le soir…mais rien à faire…elle pensait toujours…

La porte du cachot qu’elle n’avait pas fermé, ou en partit seulement, fut poussé, elle en fut averti par un doux grincement…mais elle ne s’en retourna pas pour autant pour en connaître la raison…sans doute pensait-elle qu’un courant d’air en était responsable et de ce fait, cela n’avait aucune importance…elle ne ce douté pas le moins du monde qu’il aurait pu s’agir d’une tiers personne. Telle la légèreté d’un papillon, elle ne l’entendit pas non plus s’approcher du lieu ou elle siégeait. Inutile de vous dire qu’elle eu un léger sursaut en voyant s’installer devant elle une silhouette. Le regard pourtant toujours dans le vide et l’esprit complètement ailleurs, elle ne tourna pas les yeux vert elle croyant encore alors au fruit de son imagination et de ses visions plus que troublante ses derniers temps.

Ce ne fut alors qu’a la résonance de la question de la silhouette en question, qu’elle pris vraiment conscience de sa réel présence en ces lieux. Tournant alors la tête dans sa direction, elle découvrit devant-elle, une jeune fille qui, à en juger par le blason sur la robe, était de la même maison qu’elle. Dans un premier temps, elle la regard tout simplement, ne disant mot. Sa respiration était lente et calme. Et dire qu’elle l’avait prise pour un fantôme du passé...inutile de le lui dire, elle l’aurait certainement prise pour une folle. Puis elle se décida enfin à lui répondre.

« Je pourrait te poser la même question, mais je n’en est pas envie. Et pour te répondre, je suis simplement venu chercher le réconfort de la solitude et du silence…mais à bien y réfléchir je ne suis pas mécontente de ne plus être seule »

Elle avait dit cela sur un ton tout à fait neutre, ni froid, ni joviale…aucune émotion de quelque sorte que ce soit, avec cependant, un simple petit sourire, style de bienvenu. Elle l’avait quitté des yeux, elle n’aimait pas tellement fixer les gens…sauf cas exceptionnel…elle soupira, repensant à ce qu’elle venait de dire…elle avait chercher la solitude, mais cela n’avait fait qu’empirer les choses, alors la présence d’un personne ne pourrait être pire. Même si elle lui avait dit qu’elle ne désirait pas savoir, au fond-elle, elle le voulait tout de même.

Un fragile silence revint dans la pièce, seulement troublé par les respirations régulières des deux jeunes Serpentard avant que la voix de la préfète ne s’élève, neutre.

« Je pourrais te poser la même question, mais je n’en ai pas envie. Et pour te répondre, je suis simplement venue chercher le réconfort de la solitude et du silence…mais à bien y réfléchir je ne suis pas mécontente de ne plus être seule. »

Un vague sourire jouant sur ses lèvres, Sheila Low posa son regard sur Naëlle mais le détourna aussitôt. Cette dernière n’en fit pas de même, étonnée que la Serpentard soit aussi accueillante alors qu’elle l’avait dérangée. Elle s’était habituée à voir tous les Serpentard repousser n’importe qui lorsqu’ils étaient dérangés, elle était même l’une des premières à le faire et la scène qui était en train de se dérouler était assez étrange ? Dérangeante ? Bref, elle ne savait pas vraiment, mais une partie d’elle était ravie de voir quelqu’un d’autre que son cousin Samuel avoir l’air sympathique. Ca lui manquait parfois les sourires, bien qu’elle se tuerait plutôt que de l’avouer.
Soudain, une irrépressible envie de parler envahie la Serpentard et les mots se pressèrent contre ses lèvres, s'échappant à une vitesse assez ahurissante :

« Je me suis réveillée en sursaut, après un cauchemar. Et j’ai eu besoin de sortir du dortoir. Je trouvais l’atmosphère étouffante tout à coup…C’était assez étrange comme sensation, tout bien réfléchi. Et…Hum, mes pensées sont un peu confuses et mes paroles commencent à suivre le mouvement apparemment… »

Un rire bref et crispée suivit ses paroles, et s’évanouit aussitôt comme absorbé par les murs de pierres qui entourait la jeune fille. Malgré tout, parler lui faisait du bien.
Elle commença à doucement balancer ses pieds dans le vide et c’est à ce moment-là qu’elle s’aperçut qu’elle avait oublié d’enfiler des chaussures. Levant les yeux au ciel, la Serpentard garda enfin une de ses pensées pour elle :

Finalement, Naëlle ramena ses jambes sur le bureau afin de s’asseoir en tailleur. Puis, se redressant légèrement, posa ses deux mains aux doigts longs et pâle à l’endroit où ses jambes se croisaient. Continuant de jauger Sheila du regard, elle se décida à se présenter :

« Je suis Naëlle, mais peut-être le sais-tu déjà…Je n’ai aucune idée de qui sait qui je suis et qui ne le sait pas, en fait. »

Omettant volontairement son nom de famille, depuis les derniers événements Naëlle ne savait plus vraiment comment se comporter vis à vis de son statut de fille de Mangemorts. De plus, elle était à la fois apprentie Mangemorte et espionne pour le compte des apprentis de l’Ordre de Fumseck. Pour faire simple, elle avait le cul entre deux chaises et tout ça était loin d’être confortable.
L’esprit de Naëlle revint tout à coup dans la pièce et elle attendit de nouveau une quelconque réponse de la part de son interlocutrice.

"Je sais comment tu t'appelle, ton nom de précède"

"Mais même si je connais ton nom, cela ne veux pas dire que je te connais toi, tu ne pense pas?"

(désolé pour se poste, mais j'ai eu un peu de mal)

Je sais comment tu t'appelle, ton nom te précède.

Voilà. Les mots étaient lancés, jetés. La suite de cette conversation dépendrait de l'opinion de Sheila Low, ou de sa faculté à juger ou non les personnes d'après leurs origines. Une pression soudaine s'abattit sur les frêles épaules de Naëlle. Elle en fut désorientée : pourquoi donnait-elle de l'importance à ce que pensait les autres, en ce moment ?

On se défait rarement de ses parents

Quand vos parents sont célèbres, pour quelque chose de bien ou non, deux choix se présentent alors à vous : soit vous vous laissez manger par cette réputation, soit vous décidez de vous démarquer. Et alors, vous avez tout à prouver, parce que tout le monde, absolument tout le monde (même ceux qui le nient), attend de vous que vous soyez comme le reste de votre famille. Et c'était la situation dans laquelle se trouvait Naëlle. En deux fois pire. Car si quasiment tout le monde savait qu'elle était une Lestrange, il était aussi de notoriété publique qu'elle était liée aux Malefoy.

Mais même si je connais ton nom, cela ne veux pas dire que je te connais toi, tu ne penses pas ?

Sheila faisait donc partie de ces personnes qui tiennent à forger leur propre opinion. Et bien que Naëlle ne l'avouerait jamais, elle en fut énormément soulagée. Dans la pièce, la pression sembla tout à coup chuter et le rythme cardiaque de Naëlle, qui s'était accéléré sans qu'elle ne s'en aperçoive, reprit une cadence normale.

Tout le monde ne pense pas comme toi...Ou comme moi...

, lâcha-t-elle en guise d'assentiment.

Le silence s'installa de nouveau dans le cachot, plus serein. Ne quittant pas Sheila des yeux, Naëlle rajouta quelques mots à voix basse :

Et contrairement à toi, tout le monde ne sait pas que je fais partie des apprentis de l'Ordre de Fumseck...

Posant ses pieds sur l'estrade de bois sur laquelle était posé le bureau, la jeune fille se redressa. Le bois sous ses pieds était froid et pour la deuxième fois de la nuit, un frisson la traversa. Enfouissant sa main dans la poche de sa robe se sorcier, elle y trouva sa baguette. La Serpentard dessina quelques arabesques dans l'air et murmura quelques mots qui vinrent briser une fois de plus le silence cachot, réchauffant ainsi légèrement la pièce. Elle posa ensuite sa baguette magique sur le bureau, un peu brutalement peut-être. Le bruit du bois de sa baguette contre celui du bureau la fit presque sursauter. Mais elle ne cilla pas, attendant la réponse de son interlocutrice...

-On se défait rarement de ses parents-

*certaine personne y arrive*

"Il est vrai, c'est peut être en cela que je ne peut prétendre de connaître, mais pas en partit"

"Mais avoue qu'il est déjà étrange de trouver un serpentard dans un tel regroupement, alors imagine, lorsqu'il y en à deux et que l'une porte un nom plus ou moins intéressait, si tu vois...Mais peut importe"

"Parlons plutôt d'autre choses" reprit-elle finalement " Tu te rend au bal avec qui?"

Il est vrai, c'est peut être en cela que je ne peux prétendre te connaître, mais pas en partit.

En entendant ces paroles, une pensée vint l’envahir. Que faisait cette jeune fille à Serpentard ? Mais comme elle l’avait si bien dit, elle ne connaissait pas Naëlle, et c’était réciproque. Après tout cette jeune fille pouvait s’avérer être la pire des pestes, bien qu’elle en doutait fortement.

Mais avoue qu'il est déjà étrange de trouver un serpentard dans un tel regroupement, alors imagine, lorsqu'il y en à deux et que l'une porte un nom plus ou moins intéressait, si tu vois...Mais peu importe.

Effectivement, c’est…étonnant. D’ailleurs, je m’attendais à n’y trouver aucun autre Serpentard. C’est peut-être pour ça que ce soir…Enfin, cette nuit…Bon, de toute manière ce que j’allais dire n’a aucune importance.

Un sourire vint éclairer le visage pâle de la Serpentard pour conclure sa phrase. Et c’était un vrai sourire. Elle se sentait assez à l’aise pour entrer dans la conversation et arrêter de ne prononcer uniquement des monosyllabes ou presque. Mais là, elle avait surtout envie de s’éloigner de cette conversation. Il restait si peu de temps à Poudlard, elle s’en rendait compte maintenant et elle n’avait franchement pas envie de passer du temps à discuter de toutes ces histoires qu’elle se surprenait à trouver de plus en plus…grotesques ? Oui, c’était exactement le mot ! Et l’évidence la frappait de plein fouet maintenant. Le monde de la Magie n’avait vraiment pas besoin d’une guerre de plus et l’envie complètement sordide d’une jeune sorcier de dix-sept ans de refaire le monde comme l’avait voulu le Seigneur des Ténèbres l’amusait au final plus qu’autre chose. Voldemort n’avait pas réussi à s’imposer alors qu’il lui avait fallu des années et des années pour atteindre son niveau de Sorcellerie et un jeune homme encore à Poudlard voulait réussir là où l’autre avait échouer ?

pensa-t-elle, méprisante.

Parlons plutôt d'autre choses. Tu te rend au bal avec qui ?

Apparemment l’envie de Naëlle de changer de sujet était également celle de Sheila Low…A moins que celle-ci ne soit Legilimens, ce qui était beaucoup moins plausible.
Mais elle abordait un sujet que la jeune fille était loin d’apprécier. En effet, en plus du nombre inexistant de garçons lui ayant proposer de l’accompagner jusqu’à présent, Naëlle avait aussi une sixième année dans son dortoir qui, pour ainsi dire, ne parlait que du bal. De la robe ( -

Vous comprenez comme j’ai la peau mat et que je suis à Serpentard, une robe argentée m’irait parfaitement !

) au groupe qui allait jouer ( -

Oh, non, pitié pas ce groupe nuul ! Comment il s’appelle déjà ?!

) en passant par le cavalier, les chaussures, la coiffure et…enfin bref, tout !
Naëlle s’apprêtait à éviter le sujet, mais se ravisa finalement. Ca faisait tellement longtemps qu’elle n’avait pas discuté avec quelqu’un d’un sujet aussi léger, voire même discuter tout court qu’elle se fichait finalement du sujet…

Et bien, pour l’instant mon nombre de cavaliers potentiels est, disons, limité…Et toi ?

A la fin de cette phrase, Naëlle sentit que la tension dans la pièce était définitivement retombé, ce qui n’était pas une mauvaise chose du tout.

Effectivement, c’est…étonnant. D’ailleurs, je m’attendais à n’y trouver aucun autre Serpentard. C’est peut-être pour ça que ce soir…Enfin, cette nuit…Bon, de toute manière ce que j’allais dire n’a aucune importance.

Et bien en ce qui concerne le nombre de cavalier je n'ai pas à me plaindre

Et puis pour être franche, je n'ai pas tellement envie de m'y rendre