Next of Hogwarts...Tout recommence
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilPortail*RechercherDernières imagesS'enregistrerConnexion
Le Deal du moment :
Jeux, jouets et Lego : le deuxième à ...
Voir le deal

 

 « Un galopin est frusquin, moi je ne le suis point »

Aller en bas 
2 participants
AuteurMessage
Ywain Bryn Gilwaethwy
Serdaigle
Serdaigle
Ywain Bryn Gilwaethwy


Masculin Nombre de messages : 59
Age : 34
Emploi/Maison : Elève / Serdaigle
Âge du perso : 16 ans
Amour : That's Possible ...
Date d'inscription : 05/03/2008

Plus sur le perso
Surnoms: Yw'
Orientation Sexuel: Bisexuel
Caractère: Jeune timide, rêveur.
« Un galopin est frusquin, moi je ne le suis point » Empty
MessageSujet: « Un galopin est frusquin, moi je ne le suis point »   « Un galopin est frusquin, moi je ne le suis point » Icon_minitimeMar 18 Mar - 14:48

Priorité à Ethan N.LUPIN

    « À pas de velours vers la salle commune
    Je pensais n’avoir guère de lacunes
    Pour m’endormir après que ce garçon veuille me honnir
    En me promenant à cette époque nocturne.
    On me prenait pour un jeune homme taciturne.
    »

    Une couverture bleu bordée avec un drap fût tirée d’un lit vers deux heures du matin. Un garçon aux cheveux et à la coupe très sombres et très spéciale se leva en passant ses jambes par-dessus sa couette en premier. Vêtu de son pyjama, il rejoigna la salle commune avec son carnet, sa plume dorée, son pot d'encre et sa baguette. Le garçon s’installa sur un divan protégé par une housse représentant les couleurs de sa maison. Ce jeune élève avait décidé de protéger son bien par un mot de passe très spécial, quasiment introuvable. Il attrapa sa baguette et la pointa sur le livre plus ou moins épais à la couverture de cuire également sombre et murmura une phrase douce, aux divers sons dansants dans le silence de la pièce. Une poussière d’étoile bleu et argentée jaillis de la baguette et ouvrit le carnet, comme s’il y avait eu un coup de vent, à la page qui suivait celle où le jeune garçon en cinquième année avait écrit dernièrement Il reposa son « arme » et cette fois-ci attrapa sa plume dorée tout en ouvrant son encrier d’un geste habitué donc rapide. Ce petit timide trempa deux fois sa plume dans le pot et commença à écrire, écrire, écrire jusqu’à ce que son poignet lui fasse mal. Il avait commencé comme à son habitude par un tout petit poème. Cela racontait sa journée en quelques mots puis il en écrivit une histoire entière dans les moindres détails durant deux bonnes heures, encore. Après cela, il n’avait plus mal, plus sommeil de plus, il ne baillait plus du tout aux corneilles en cherchant l’inspiration au plafond. Ywain était un drogué de la plume, comme l’avait si souvent dit William, son frère. Telaw, le chat, rejoigna son maître et s’installa près de lui pour ronronner contre la matière du vêtement qu’il appréciait tant. Le Serdaigle émit un léger rire et reprit son roman à pleine vitesse comme s’il débordait d’inspiration et qu’il ne voulait pas la perdre. Son écriture légèrement penchée et claire rendait son histoire bien plus agréable à lire. Voici venu le passage le plus agacent à écrire, le moment de sa journée le plus pire. Celui où un élève de Gryffondor se moqua énormément de lui ...

    « [...] Il ne m’avait suffit que d’un moment pour que je me prenne les pieds dans son satané sac à dos traînant sur le plancher de la bibliothèque ... Un moment pour que je tombe sur une jeune fille de Poufsouffle. Je me suis retrouvé sur elle. J’avais tellement eu honte que je m’étais posé trois fois la question si ce garçon portait bien les couleurs rouges et or, si le vert et l’argent ne dominaient pas, s’il n’avait pas volé un vêtement pour jouer à la provocation. Cependant, la dernière possibilité se tourne vers l’impossible. Il ne peut pas emprunter ou voler une robe de sorcier, si cela avait été le cas, il se serait fait incroyablement tirer les oreilles. Heureusement, ce n’était que du hasard. Ce sac avait été placé au mauvais endroit, au mauvais moment et moi, il a fallut que je m’afale sur cette jeune brune. Ce que j’avais vu dans ses yeux n’était que de la peur et de la honte. Que je suis idiot ! Ce garçon prêt à hurler de rire fût sortit de l’immense salle par la Bibliothécaire furieuse par l’attitude d’un garçon généralement si agréable. Elle aussi avait hésité sur la maison de ce curieux personnage que je n’ai pas revu depuis ce “ drame “ . Je me suis beaucoup excusé auprès de cette fille. J’espère qu’elle aura oublié ! [...] »

    L’aîné des Bryn Gilwaethwy enchaîna avec un autre paragraphe. Lorsqu’il eut finis, il se leva avec son animal de compagnie dans les bras et rejoigna son dortoir avec son matériel dont son carnet de nouveau scellé grâce à la formule inverse. Il cacha le tout sous son matelas sans réveiller qui que ce soit et décida d’enfiler ses vêtements du week-end qui était un jean large, des chaussures de skate, un gilet à rayures et à capuche grises et bleus. Telaw se réveilla lorsqu’Ywain le prit dans ses bras en quittant le dortoir. Il était quatre heure et demi du matin. Direction les toilettes de Mimi Geignarde. Il ne voulait pas spécialement la voir mais juste visiter ces fameuses toilettes hantées depuis un certain bout de temps. Avec l’allure d’un voleur et la grâce d’un chat dans la nuit, l’adolescent se glissa hors de la salle commune. Il descendit cinq marches, emprunta une porte grinçante qui le fit grimacer, un couloir et il avait quitté la tour de Serdaigle pour le sixième étage du château. Le voilà partit pour descendre avec le même rythme les escaliers de l’école, du sixième au second pour se rendre aux toilettes hantées par la défunte Myrtle dont le nom complet n’a jamais été surnommé en d’autre thermes, les surnoms en pleuraient. C’était d’ailleurs le cas de le dire ! Elle avait été tué par le Basilic de la chambre des secrets dans les années quarantes. Ywain avait eu le courage de monter en au des étagères de la bibliothèque pour chercher la petite bête dans Poudlard. Par simple curiosité, il voulait être sur de lui et non pas être recouvert de mystères. Le livre sur lequel il avait posé la main était tellement vieux que les pages de détachaient en les tournant. Il s’était arrêté entre la centième et la cent-cinquantième pour éviter de remettre le livre dans un état lamentable pour terminer avec les oreilles en pointes malgré les ongles pointus et longs de la gérante du lieu si calme nommé “ Bibliothèque “.
    Le fantôme n’était pas présent. Bizarre ... Le Serdaigle s'avança et lorsqu’il voulut rejoindre la fenêtre, Mimi surgit du haut d’une cabine faisant reculer le garçon d’un mètre. Passer du silence le plus totale aux hurlements vous accélère votre rythme cardiaque en moins de deux secondes. Il croyait qu’il allait en mourir sur le coup.


    Mimi « Est-ce que t’as vu l’heure qu’il est, triple idiot !, cria-t-elle, Je dormais à point fermés et voilà que tu viens me déranger, pleura-t-elle. »
    Ywain « Ce n’était pas mon intention. »
    Mimi « Comment ça, pas ton intention ?, hurla-t-elle sous le nez du garçon, tout le monde vient ici pour déranger MIMI !! »
    Ywain « Dans ce cas, pour une fois je viens pour d’autres raisons. »
    Mimi « D’accord ! Qu’est-ce que tu veux ?! , cracha-t-elle d’un ton rude en croisant les bras et en tournant le dos »
    Ywain « Bon sang ! Mais rien du tout ! Je n’étais jamais venu auparavant. J’avais envie de voir ce qu’était ces “ Toilettes “ »
    Mimi « Rien de plus banal ! Des cabines, des robinet, des cuvettes, des chasses-d’eau ! »
    Ywain « Ça, je n’en doutait pas une seconde ! »
    Mimi « ... C’est amusant, tu n’as pas fait le moindre faux pas depuis que tu es arrivé ! »
    Ywain « Que veux-tu dire par là ? »
    Mimi « Tu n’as pas dit une seule fois “ Pour voir ce que renfermait ces toilettes hantées “ ou bien “ s’il y avait bien un fantôme “ RIEN DE PLUS VEXANT ! »

    Conclut le spectre en hurlant et un disparaissant dans une cabine. Le garçon soupira, se dirigea vers la fenêtre pour l'ouvrir. Elle n’avait pas été ouverte depuis au mois un bon demi siècle. Il eu beaucoup de mal à l'ouvrir de ses propres mains. Un instant, il voulut croire à un blocage magique. Cela lui illumina l’esprit, par conséquent, il sortit sa baguette, la pointa vers la poignée de la fenêtre et avec une simple formule, elle s’ouvrit dans un courant d’air frais. Étant au sixième étage, la brise se faisait largement sentir. Elle était tellement agréable que le garçon se laissa caresser les cheveux par ce même élément et éclairer le visage par la lune hautement présente. Il repensait à Mimi qui l’avait quitté très brutalement. Il soupira de nouveau ...

    Ywain « Lourde comme gosse ... Ce basilic ne l’a pas seulement tuée, il l’a rendu complètement gaga ! »

    Un bruit le fit se retourner de nouveau. Était-ce le vent ? Non ... Un garçon se tenait là, tout près de lui.


    Ywain « Bons...jour »

    Rectifia-t-il en se rappelant de l’heure.

Revenir en haut Aller en bas
http://mysteries-hogwarts.forumpro.fr
Ethan N. Lupin
Admin Plutôt mal dans sa peau ...
Admin Plutôt mal dans sa peau ...
Ethan N. Lupin


Masculin Nombre de messages : 886
Age : 32
Emploi/Maison : Pouffy
Âge du perso : 16 ans
Amour : Nobody in my heart
Date d'inscription : 20/10/2007

Plus sur le perso
Surnoms: Ety
Orientation Sexuel: Homosexuel
Caractère: Réservé, mausade, parano, sujet aux alucinations. Rien de plus classique
« Un galopin est frusquin, moi je ne le suis point » Empty
MessageSujet: Re: « Un galopin est frusquin, moi je ne le suis point »   « Un galopin est frusquin, moi je ne le suis point » Icon_minitimeSam 29 Mar - 12:58


      « Seul au milieu du temps
      J'oublie ce qui m'attends ou bien ce que je fuis
      Je respire enfin je vois
      D'autres mondes où je me glisse
      En proie au plus profond des délices
      Je pourrais presque y croire »



    Le rêve, il fait passez un message. C’est quand votre inconscient prend le dessus. Vous comprenez tout ce qui se passe sans pourtant que rien ne vous soit expliqué. C’est une étrange sensation que cette vision invisible et pourtant si net. Vous êtes capable de donner le moindre détaille de ce que vous avez vu. Vous pouvez citer l’heure, la couleur de vos vêtements, quelle est votre humeur, quels sont vos sentiments. Pourtant, rien n’est réel, tout est parfaitement clair, seule le message qui se cache est à décrypter. Vous rêvez…

    Un abri de cartons. Humide, froid. Maison de fortune digne d’un ermite. C’était bien peu, et pourtant c’était une chance. Cette petite habitation des plus modeste était une bénédiction dans un tel lieu. Ethan sortit en compagnie de sa sœur, levant quelques cartons. Ceux-ci se plièrent, amollit par le liquide qui ne cessait jamais de tomber. Parfois eau, parfois sang, cette pluie était des plus morbide. Mais quelle était cette vie ? Qu’était ce deuxième monde dans lequel le jeune Lupin vivait depuis maintenant presque une semaine, chaque nuit. Une fois à l’extérieur, c’était un paysage des plus macabre qui s’offrait aux deux jumeaux. Une grande ville, d’immenses immeubles en ruine. Des morceaux de verre brisés jonchaient le sol tandis que des restes de poubelles emplissaient la rue. Le tout était couvert d’eau, celle-ci descendait le long des rues, suivant un chemin déjà tracé depuis bien longtemps. C’était comme la source de vie, comme si cette ville ne pouvait se passer de tout ce fluide en mouvement constant. Tandis que la pluie ne cessait jamais de tomber. Certaines rue étaient à éviter, couvertes de cadavres en sang, décomposé, parfois en morceau. Les autres rues toujours habitées étaient emplit de maison de carton. Soudain, un bruit derrière un restant de maison survint, alertant Ethan. Celui-ci se retourna alors que tout autre personne se trouvant autour de lui ne réagit point. C’était étrange, il semblait être le seul à avoir remarqué ce mouvement, même sa sœur n’avait rien remarqué. Une hombre apparut alors. Forme sombre sous un ciel noir. Elle avançait lentement, de manière comparable à un détraqueur. Ce mouvement lent et uniforme, sans le moindre à-coup, comme si elle flottait et non marchait, était effrayant. La chose s’approchait, incontestablement. Pourtant, personne ne la voyait, il était le seul à l’observer, à la contempler, à la fuir chaque nuit. Il se mit à courir, courir à toute vitesse, courir pour aller le plus loin possible, courir et ne jamais s’arrêter même essoufflé, courir pour fuir l’inconnu qu’était cette chose invisible aux autres. Il passait sous de longs tunnels, traversait des jardins jonchés de corps, sautais au dessus des long courant d’eau. C’était une progression difficile, il était souvent ralentit. Se tournant une dernière fois vers l’hombre, il réalisa soudain, c’était une femme ! Un visage en décomposition, des yeux globuleux traduisant l’envie, la peur, le désir, la fuite, tout simplement une folie infinie. C’était étrange et à la fois beau. Ethan voulait s’approcher, la voir de plus près, mais non, elle ne le suivait sans doute pas pour rien. Il continua donc sa course, regardant derrière lui. Quelques mètres plus loin, un fossé s’étalait. Un ancien bâtiment avait été détruit, laissant apparaître à la place une crevasse d’une vingtaine de mètres, sans doute un ancien parking. Il ne vit rien de tout cela, et tomba. Tomba. Tomba encore …

    Dans le dortoir, tous dormaient. Tous sauf Ethan. Ses yeux s’ouvrirent brusquement, une grimace effrayée sur le visage. La sueur qui perlait sur son visage coula sur les draps, ses cheveux étaient gras, il avait la peau tendue. Il avait la chair de poule et pourtant pas froid. Il se leva avec difficulté, comme s’il faisait un effort surhumain. Il se sentait atrocement mal, le corps endoloris, un mal de tête atroce, il avait le sentiment d’avoir fait une chute de plusieurs mètres. Repoussant l’épaisse couverture de ses mains moites, il sortit finalement de son lit à baldaquin pour se diriger vers la douche. Durant le cours trajet, son rêve lui revint en mémoire et il se sentit d’autant plus mal, c’était étrange à quel points ses sensations étaient mêlées à son rêve, mais il ne fallait plus y penser. Il était quatre heures du matin, prendre sa douche, retourner dormir. Voilà ce qu’il y avait à faire, et pas se prendre la tête avec des bêtises tel qu’un rêve sans intérêt. Ah ; la douche était devant lui. Il commença donc à se déshabiller, laissant apparaître un corps humide d’une mauvaise nuit. Peu de muscle, encore moins de graisse, on aurait pût le qualifier de maigre mais rare étaient ce qui le faisaient. Se regardant dans un miroir, il vit que de grosses cernes avaient élues domicile sous ses yeux, ce n’était pas à son goût et il se dit qu’il faudrait trouver une solution à cela. Ses lèvres étaient gercées, sans doute les restes d’un hiver enfin terminé. Ses cheveux salle étaient plaqués à sa tête d’une manière qu’il cherchait toujours à éviter. Il fallait vraiment se laver, se changer les idées, sortir de ce rêve ! Il entra finalement dans la douche et y passa une dizaines de minutes. Finalement, cela l’avait bien réveillé et il n’avait plus du tout envi de dormir. Tous ses petits défauts avaient disparu, il était enfin présentable. Il descendit dans la salle commune, cherchant de qu’il pouvait bien faire à cette heure là. Il ne pouvait pas aller faire un tour dans le château à cause des horaires réglementaires. Il y avait trop de règles dans ce château ! Soudain, derrière l’un des fauteuils, un petit bruit se fit entendre, alarmant Ethan. Il regarda, un peu peureux, et lorsqu’il vu une hombre, du même aspect que celle de son rêve, il se mit à courir. Il sortit de la pièce à toute vitesse, se retrouvant dans le couloir menant aux cachots. Il se dirigea vers le hall d’entrée à toute vitesse. Il monta le grand escalier, se dirigea vers tous les escaliers. Derrière lui, elle était toujours là, de plus en plus près, elle ne le lâchait pas. Jamais il ne la devançait, comme dans son rêve. Il arriva finalement au deuxième étage, cherchant une pièce accessible le plus rapidement, une bonne cachette, un endroit où personne n’allait jamais. Mimi ! C’était elle la solution ! Il se rendit dans les toilettes, une pointe de côté et un souffle irrégulier, il fatiguait déjà. Le manque de sommeil faisait de nouveau son apparition. Derrière la porte, il découvrit un élève de dos, difficile de savoir de qui il s’agissait, il s’en moquait, il fallait fuir, encore, toujours. Un nouveau coup d’œil en arrière lui révéla qu’il n’était plus poursuivit. Il se calma enfin, reprenant son souffle calmement. Devant lui, l’autre élève se retourna et le salua.

    | Ethan | B’soir ! Euh … tu fais quoi ici ? Et tu parlais à qui en faite ?

    Et oui, il venait de se rendre compte qu’en réalité, à son arrivé ils n’étaient pas deux mais bien trois dans la pièce. Il se sentit quelque peu ridicule mais n’en laissa rien paraître, après tout il était déjà rouge à cause de l’effort, sa n’aurait pût être pire que cela.


[1254 MOTS]
Revenir en haut Aller en bas
 
« Un galopin est frusquin, moi je ne le suis point »
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Next of Hogwarts...Tout recommence :: Intérieur du château :: Le deuxième étage :: Toilettes de Mimi Gémiarde-
Sauter vers:  
Ne ratez plus aucun deal !
Abonnez-vous pour recevoir par notification une sélection des meilleurs deals chaque jour.
IgnorerAutoriser