Une rencontre matinal...

| priorité a Samuel Malefoy |

Que faisait Marie Weasley, une jeune Gryffondor de 5e année dans les couloirs à cette heure-ci? Du somnambulisme? Une course? Du shopping? Mystère et boule de gomme. En fait, elle venait pour profiter des derniers jours de soleil. Bientôt, un rideau de pluie couvrerait les fenêtres et il ne serait plus possible d'admirer le paysage. Le ciel deviendrait gris, la pluie tomberait dans un son redondant qui vous grille les oreilles. Le paysage mourrait et tout semblerait le suivre. Voilà pourquoi la jeune fille se promenait dans les couloirs à une heure si matinale; elle profitait du dernier lever de soleil. Ce n'était pas le dernier, mais le dernier visible! De plus, la jeune demoiselle n'était pas prête de se relever aussi tôt.

Quelques instants auparavant, elle avait été réveillée par sa chouette, Eleanor. Cette dernière lui apportait une lettre de sa mère. Dans ce bout de parchemin, elle lui posait des multitudes de questions sur poudlard, comment allait elle, que se passait il ? Pourquoi avait-elle envoyé ce hiboux si tôt? Pour réveiller sa fille ?Le soleil n'était même pas haut dans le ciel ! Simplement parce que la mère de cette jeune fille partait à l'instant et qu'elle avait envoyée tout de suitesa chouettei la porter. En général, lorsqu'on envoyait Eleanor, il fallait l'envoyer à l'avance, car elle se perdait et perdait son temps. Marie essaya alors de se rendormir, mais les ronflements d'une jeune fille inconnue l'empêchèrent de fermer l'œil. Elle avait beau se tourner de tous les côtés, elle ne se rendormait pas. La jeune Weasley s'assit donc sur son lit, et regarda par la fenêtre. Du haut de la tour de Gryffondor, on voyait bien le soleil se lever, mais le grillage cachait une partie de la vue. Marie se leva et passa faire un tour à la salle de bain. Elle se peigna seulement les cheveux, laissant ses boucles chatains clair tomber sur ses épaules. Ensuite, elle mit une petite couche de maquillage (mascara, ombre à paupière, gloss, etc, etc..) Puis vint le tour des vêtements. Heureusement qu'il y avait un uniforme, sinon Marie mettrait des heures et des heures à se préparer tous les matins. Non vous vous trompait ! Se n'est pas une adepte de la mode mais elle fait attention a son apparence.

Une fois prête, elle descendit les marches à pas de souris, et sortit dans les couloirs sombres et poussiéreux. Dans les couloirs, elle avait tendance à se cogner contre à peu près toutes les personnes qui venaient en sens contraire, voire même qui se trouvaient devant elle. La dernière fois, elle était rentré droit dans un groupe de Serpentards de sixième année, elle en était sorti indemne, heuresement, oui la jeune fille avait un fort caractère, il ne fallait pas trop la chercher. Seulement cette expérience ne lui avait absolument servi de leçon car elle était toujours autant dans la lune quand elle descendait les escaliers de poudlard. De toute manière, qui pourrait il y avoir a cette heure la ? Les élèves de poudlard sont surement tous en train de dormir tranquillement dans leur petit lit douillé, plongé dans un beaux rêve et ne voulant pas être réveillé. La jeune lionne avancait donc dans les escaliers perdu dans ses pensée, a cette heure il ne fesait pas complètement jour mais il ne fesait pas noir, des rayons de soleil percaient les vitres des couloirs de poudlard, c'était plutôt jolie a voir. Mais même avec sa, ce dont avait besoin la gryffondor était un peu de compagnie qu'elle espérait trouver, même a cette heure la... La Rouge et Or marchait d'un pas rapide vers le spectacle qui se trouvait à l'est du château. On aurait pu se demander se qu'une jeune fille comme Marie fesait ici, toute seule, avec un air nostalgique, complètement perdu dans ses pensée. Mais bien sur, toujours ponctuelle , la jeune fille arriva au moment même où l'astre du jour montait dans le ciel, inondant le couloir d'une vive lumière.

« Oh Marie! Un peu plus et je t'ensorcelais... =) »

« Mais tu as vu l'heure qu'il est? Comment une jeune fille brillante telle que toi ne dors pas plus? ^^ »

La jeune Weasley la lumière qui inondait le couloir. De la lumière. Ont en avait besoin. Ce qui était bien avec la lumière, c'est que l'on pouvait l'imaginer de toute les formes. Une service rendu, un peu de bonheur, un sourir. Oui, avec tout ce qu'il se passait, elle était la bienvenue partout. Et c'était aussi le cas pour la miss Weasley. Marie marchait tranquillement. Et elle vit une chose a laquelle elle ne s'attendait pas. Une personne était elle aussi présente dans les couloirs jusque là désert. La jeune fille reconnu la silhouette devant elle. Ce n'était autre que Samuel Malefoy. Il était en 5eme année avec elle et c'était aussi le meilleure amie de Gabrielle. Qui était aussi la meilleur amie de Marie. Donc elle le connaissait très bien grâce à l'intermédiaire de Gabrielle. La jeunne Weasley s'approcha de lui en souriant. Un peu de compagnie ne fesait pas de mal. Et peu être que ca allait être sa lumière ce matin. La rouge et or commencait a rattraper le jeune gryffondor quand celui ca se retourna la baguette a la main. De mauvaise humeur apparemment. Où peut être que c'était juste parce qu'il avait cru que c'était un serpentard qui s'appretait a l'attaquer. Les serpentard était souvent sur lui car pour eux c'était rien de plus qu'un traite, un misérable. Ca devait pas être marrant tout les jours. Mais elle esperait qu'il savait qu'il pouvait compter sur ses amis, à gryffondor ou même, dans les autres maison. A la grande surprise de Marie il lui répondit en souriant. Ce n'était pas souvent que le rouge et or souriait. Alors elle n'allait pas oublier ca.

- Oh Marie! Un peu plus et je t'ensorcelais...

Il avait dit ca en rigolant. Ce qui soulagea la jeune Weasley. Elle n'avait pas envie d'être plongée dans la tristesse avec ce temps. Non. Aujourd'hui devait être une journée parfaite. Où tout le monde rigoleraient. La jeune fille regarda Samuel en souriant. L'ensorceler ? Ca lui prenait comme ca maintenant. Jeter des sorts a ses amis. Quel nouveauté chez ce jeune Malefoy.

- Deviendrais-tu malfaisant Sam ?

La jeune fille lui sourit. Elle se demanda se qu'il fesait debout. Ce n'était pas dans son habitude de se lever aussi tôt. Etant dans le dortoir juste à côté du siens, la jeune fille le savait. Il ne se levait jamais si tôt, a par depuis quelque temps. Que pouvait il lui arriver ? Bien sur elle n'allait pas lui poser la question directement. La jeune lionne allait la tourner d'une autre manière où tout simplement ne pas lui poser du tout.

- Mais tu as vu l'heure qu'il est ? Comment une jeune fille brillante telle que toi ne dors pas plus ?

Il était curieux le jeune Malefoy ! Remarque elle pouvait en dire autant ! La jeune fille était un vrai livre à question. Elle regarda Samuel. L'heure qu'il est ? Lui aussi il était ici, au même endroit qu'elle. A la même heure. La jeune fille sourit a sa réplique.

- Je suppose que je peux te retourner la question. Et comment ce fait il qu'un jeune homme très actif comme toi ne dors pas plus ? ... Plus serieusement, on m'as réveillé, et tu va rire, c'est ma chouette qui a réussit ce miracle.

"Oh excuse moi! Mais ça devait être trop drôle à voir!"

"Si tu savais... Mais je pense que tu as compris, on a quand même appris à se connaitre, et tu dois avoir conscience de mes... petits problèmes."

La jeune fille se surpris à plonger ses yeux noisettes dans ceux du jeune homme. Il avait cette petite chose inexpliquable qui le différenciait des autres membres de la famille. Elle avait beau chercher, aucune réponse ne lui était venu. En tout cas, plus elle le connaissait et moins elle comprenait ce qui l'opposé à sa famille. Après tout, le nombre d'enfants qui n'allait pas dans la même maison que leurs parents étaient énorme, et ceux qui ne suivaient pas la même voix était aussi très grand. Alors pourquoi le rejeté. En le détaillant discrètement, elle s'apercut que sa facade de dur si soigneusement entretenue commencer à se fissurer. Ce qu'elle découvrait lui plaisait. Un Sam' légèrement sensible et de plus en plus ouvert. Il se mit à rire quand elle évoqua sa chouette. Elle aurait du faire la moue, comme toutes les filles devant une moquerie. Mais le sourire qui lui offrit la déstabilisa et elle ne put rien faire à part lui rendre la pareille.

- Je sais, il n'y a qu'a moi que des choses étranges arrive. Mlle Maladresse, tu connais ?

Marie s'attendait a une réponse evasive de la part du jeune blond. C'était son habitude, elle l'avait souvent entendu répondre par une phrase courte et qui fermait la conversation. Là il c'était piégé lui même en répondant par une phrase pleine de sous-entendus et questions. La jeune rouge et or savait qu'il n'avait pas envie d'en parler trop. Elle le connaissait bien et se doutait vu comment il avait pincait les lèvres, le jeune homme était gené de se qu'il lui avait révélé. La jeune fille le vit s'assoir par terre, le dos contre le mur. Elle ne savait pas trop quoi faire. Par la suite, elle descida que la meilleur solution était de s'assoir a côté de lui, elle aussi le dos contre le mur. Ils avaient les yeux rivés sur la lumière qui parcaient leurs visages. La jeune Weasley tourna sa tête vers le jeune Malefoy.

- Rassure toi Sam'. Je crois que je suis atteinte d'une maladie. Des qu'une personne ne veut pas que j'en sache trop sur elle, c'est comme si j'oubliais mystérieusement tout ce qu'elle venait de dire ... Alors tu disais ?

La jeune fille lui fit un sourir complice.

"Depuis le temps, tu dois savoir beaucoup de choses, bien que je ne le dévoile pas comme ça, ça se sent, et j'en ai que trop conscience. Tu sais, j'ai presque autant confiance en toi qu'en Gaby."

"Je dors plus, ce que j'en ai marre... Je marche dans les couloirs comme ça quasiment tous les jours, mais il est rare que je rencontre quelqu'un. Pour une fois, je me sens moins seul =P"

Marie avait du mal a ne plus laché des yeux le beau blond qui lui faisait face. Elle secoua la tête en repensant à ce qu'elle venait de penser, mais il fallait quand même avouer ce qui est non ? Il ramassa sa baguette et s'amusa avec, la faisant tourner avec agilité. C'est sur qu'elle et sa maladresse auraient été incapable d'un tel exploit. Mais revenons à nos moutons ... Il était là, à lui ouvrir son co... son esprit. IL fallait vraiment qu'elle se concentre sur le sujet qui partait de plus en plus à la dérive. Allez Marie, concentre toi. Non concentre toi Marie. Elle l'écouta parler.

- Depuis le temps, tu dois savoir beaucoup de choses, bien que je ne le dévoile pas comme ça, ça se sent, et j'en ai que trop conscience. Tu sais, j'ai presque autant confiance en toi qu'en Gaby.

Il avait presque autant confiance en elle qu'en Gabrielle. Cela fit sourir la jeune fille, Gabrielle était la meilleur amie de Samuel et aussi la sienne. ils avaient cela en communs, donc, partant de la, forcément, ils avaient souvent a se croiser dans le chateau de podualdr où en dehors. La jeune fille le regarda en souriant. Que pouvait elle ajouter a ce qu'il venait de lui confier a par de lui sourir. Elle était contente qu'il ouvre enfin son coeur. Après tout, ont dit que parler fait du bien. Peut être se sentira t-il un peu mieux après ca. La jeune fille le regarda.

- Je dors plus, ce que j'en ai marre... Je marche dans les couloirs comme ça quasiment tous les jours, mais il est rare que je rencontre quelqu'un. Pour une fois, je me sens moins seul.

C'était donc a cause de ca qu'il s'était réveillé so tôt ce matin. Et, surement tout les autres matins.Un peu de compagnie est toujours la bienvenue et elle était contente d'avoir était celle qu'il rencontrerait un matin.

- Allez, avous que tu ne dors pas juste pour me voir,

le taquina t-elle, en esperant le faire rire, elle n'aimait pas cet air si triste qu'il avait en ce moment et qui lui fendait le coeur. Pourquoi les gens étaient t'ils obligés de faire souffrir les autres ?

A présent, elle ne regrettait plus de s'être réveillé à une heure aussi matinale au lieu dêtre rester bien emitoufflé dans sa couette. En parlant de chaleur, la jeune fille frissona. Il faut dire qu'elle n'était pas bien couverte puisqu'elle portait seulement un petit top blanc et un jean. Maladroite et inconciente, voilà ce qu'il devait pensait d'elle ...

"Haha! Elle est dix fois trop grande pour toi!"

"Par contre, tu me la rendras quand on ira en cours hein?! Et puis... On en était où? Parce que là, ça a quand même un peu dérivé la convers'! ^^' Donc! Sinon toi, ça va ? Pas de problème?"

La jeune fille ne pouvait à présent plus détaché ses yeux de lui. A un moment, elle eut l'impression qu'il la contemplé mais cela devait n'être qu'une impression. Elle se rapprocha un peu plus de lui, et frissona de nouveau. C'est a ce moment là que le jeune homme se défit de sa veste pour la lui poser doucement sur les épaules. Elle s'emmitoufla dedans. Elle sentait tellement bon ... " Rooh ca suffit Marie de ne pensait qu'a ca " se facha t'elle intérieurement. Mais elle n'y pouvait rien, et le fait que Sam' ne la quittait pas des yeux n'arrangait pas les choses. Si seulement il était moins ... captivant. S'en rendait-il ompte d'ailleurs ? Marie ne comptait plus les filles qui lui tournaient autours, cherchant par tous les moyens à le conquérir. Il était bien trop désirable, c'était sa le problème.

- Merci Sam'. Oui ne t'inquiete pas, tu sais les vêtements d'hommes je ne les garde pas pour l'éternité. Bon si tu m'avais donné un chemisier blanc tres chic je ne te promet pas ... mais ta cape je t'assure que je te la rend le soleil se décide à se montrer.

Elle lui adressa un sourire complice puis regarda sa main qui se tenait à présent à quelques centimètres de celle de Sam'. Non, elle devait arreter de penser que tout les deux ... c'était absurde. Qui était elle ? Une fille banale, pas vraiment très belle. Voyons la réalité en face, le désirer à lui n'allait pas changer les choses. Mais c'était surtout son côté mystérieux qui attirait la jeune fille. Mystérieux et sensible. Voilà ce qu'elle aimait chez lui. Nouveau regard vers leurs mains tellement proche puis elle détourna la tête.

- Non moi ... ca va. Mais dit moi Sam', comment tu fais pour te soucier des autres alors que toi tu ne vas pas si bien que tu le prétend. Tu sais les anges ont le droit de pleurer de temps en temps ...

Elle se mordit la lèvre. Et voilà qu'elle le comparer à un ange. Oh et puis mince, elle le connaissait depuis tellement longtemps qu'elle pouvait se le permettre non ?

- Non moi ... ca va. Mais dit moi Sam', comment tu fais pour te soucier des autres alors que toi tu ne vas pas si bien que tu le prétend. Tu sais les anges ont le droit de pleurer de temps en temps ...

"Moi pas... Enfin, si ma famille m'a inculqué quelque chose (ça doit d'ailleurs être la seule), c'est qu'il faut régler ses problèmes par soi même. Mais moi, je m'intéresse aux autres, contrairement aux autres Malefoy, qui vivent pour leur petite forme personnelle. Je n'arrive pas à ne pas me préocupper des autres, si j'avais été moldu, j'aurai du être psy..."

"Si tu veux, tu peux la garder plus longtemps... J'ai mon uniforme et il fait assez bon pour que je n'ai pas besoin de ça! Tu me la rendras quand tu voudras. Aujourd'hui, demain, dans 2 mois ou 3 ans, je m'en fous!"

Marie sentie le bras de Sam' se refermer sur ses épaules et tout doucement, comme si le temps passait au ralentis, elle posa sa tête sur son épaule. Il sentait encore plus bon que sa veste. Elle avait l'impression de s'être lové contre un ange. Sa beauté était ... intolérable. Il n'avait pas le droit de la faire craquer ainsi.Quoi que ... Les pensées de Marie s'embrouillait de plus en plus, elle n'était même plus maître de ses actes. Juste au paradis avec Sam'. Cela lui suffisait.

- Si tu veux, tu peux la garder plus longtemps... J'ai mon uniforme et il fait assez bon pour que je n'ai pas besoin de ça! Tu me la rendras quand tu voudras. Aujourd'hui, demain, dans 2 mois ou 3 ans, je m'en fous!

- Merci...

La jeune fille n'était plus apte à de longues phrase à ce moment précis. Lovée comme elle l'était, elle pouvait sentir les batements de son coeur. Il lui avait semblait noté une accélération ... mais impossible de savoir si c'était son coeur à elle ou le siens. Elle se trouvait stupide a ne pas controler ses actes. Comment était il possible que Sam la touche tant ? Que la seul chose dont elle est envie, la maintenant s'était de ne plus le quitter. Elle se rendit compte qu'elle n'avait jamais bien regardé sa façon de s'habillé. Pas juste aujourd'hui, toujours. Comme si son visage avait été assez captivant pour qu'elle ne regarde jamais autre chose. Il porter un jean et un tee shirt qui se marier bien avec son teint, faisant ressortir ses muscles. Il était tout simplement craquant. Comme sortie de son propre rêve. Pourtant, durant cinq ans elle n'avait jamais remarqué à quel point il comptait pour elle. Elle posa sa main de libre sur son torce et ferma les yeux ...

''T'as vu la tronche que j'ai franchement! ''

La jeune rouge et or senti l'étreinte de Sam se resserer autour d'elle. Elle était bien , se laissa faire en espérant que cela ne finnisse jamais. Elle sentait les larmes coulaient sur elle et ne fit rien pour l arreter. Il etait tellement beau, tellement humain, tellement sensible ...Elle ne pouvait pas lui resisiter. Voila, elle se remettait a pensait des choses comme celle la qui devait lui être interdite. Maispouvait rien y faire. C'était trop puissant, trop t'enttend. L'aimait elle ? La tout de suite, le mot qui lui venait a l'esprit était oui. Elle remarqua une larme coulait sur son visage d'ange. Trp parfait. Elle ne pu s'empecher de vouloir le consoler mais ne fit rien, elle resta contre lui. Son étrainte se resseras un peu plus. Cela ne la dérangeait en rien. Elle était bien, blotti contre son torse. Voila ce qu'elle pensait, quand il stoppa cette étreinte, ce moment de bonheur. Il la regarda dans les yeux puis lui dit doucement.

- T'as vu la tronche que j'ai franchement!

C'est a ce moment là que tout bascula. Il n'y avait que lui qui existait à présent. Il la refarda, puis posa si doucement son doigt sur ses levres qu elle eut l impression d un premier baiser. Mais lorsque ses levres se refermerent sur les siennes, Marie ne se controla plus. Elle passa doucement ses mains autours de son cou, l'attira encore plus pres d'elle puis ouvrit la bouche. Elle l'aimait. C'était sa le quelque chose en plus qu'elle cherchait tout a l heure. Elle était amoureuse de lui, et cela faisait longtemps. Enfin, elle s'en rendait compte. Elle esperait que ce soit pareil de son côté. Oui, elle le souhaitait de tout son coeur. et se baisé, c'étai ... magnifique.

"Et moi qui voulais rester au lit..."

La jeune fille sentit les doigt du jeune gryffondor sur son visage et respira pour calmer son coeur qui était prés de lacher. Elle ne savait plus très bien où elle en était mais une chose était sur : elle l'aimait. Il semblait soudainement heureux, ce qui avait pour effet de rendre Marie resplendissante de joie. Avec tendresse, il lui caressait à présent la joue, faisant emballer le coeur de la jeune fille. Il était tout simplement irésistible et tellement doué dans ce domaine qu'était l'amour. Ou alors c'était naturel. En tout cas, elle découvrait une nouvelle pars de Sam', et elle en était encore plus amoureuse. Voilà, c'était dit.

- Et moi qui voulais rester au lit...

- Je vais t'occuper si tu t'ennuis ...

La jeune fille releva la tête pour retrouver les levres de Sam'. Elle ferma les yeux, se laissant faire par le jeune homme. Elle espérait vraiment qu'il ne la repousserait pas, que ses sentiments étaient eux aussi réciproque. Réfrenant son élant amoureux, la jeune fille mit fin au baiser pour repprendre sa réspirations. Du joyeux sujet de sa famille ils en étaient arriver à des déclarations... enfin pas vraiment mais c'était tout comme. Marie ne savait pas si elle devait faire le premier pas en avant ou ne rien faire du tout. Elle passa sa main sur sa joue puis s'éloigna un peu pour mieu le contemplait. Puis elle se lança.

- Sam' je ... enfin on se connait depuis si longtemps... Mais là c'est différent. Sam', je crois que je suis amoureuse de toi...

La jeune fille attendit, les larmes aux bords des yeux. Et si il la repoussait ? A pres tout, que pouvait il lui trouver ? Elle était tellement banale et lui si séduisant ... IL avait toutes les filles à ses pieds, son sois disant fan club, alors pourquoi il la préférerait aux autres ? Elle ferma les yeux, en attente d'une réponse qui, quel que soit elle, ne changerais en rien les sentiments qu'elle éprouvait pour lui.

- Sam' je ... enfin on se connait depuis si longtemps... Mais là c'est différent. Sam', je crois que je suis amoureuse de toi...

"Tu me crois capable d'ainsi embrasser une fille comme ça, sans rien ressentir? Je t'aime Marie, plus que tu ne le crois..."

Lorsque Sam entrelaca ses doigts aux siens, la jeune fille avait de plus en plus de mal à ne pas s'évanouir de bonheur. Elle regarda, il semblait réffléchir aux mots qu'il allait prononcer. Elle ne savait plus tres bien où elle en était, elle avait l'impression que si il la repoussait elle aurait du mal à se relever. Mais le jeune homme la regarder comme si ... comme si lui aussi éprouver des sentiments. Peut être de l'amitié ou, comme l'espéré Marie, un peu d'amour. Bien sur, il y avait eu cette impression de regret lorsqu'elle avait arrêter de l'embrasser. Peut être aimait il ca ? Autant qu'elle ? Serrais - ce possible ? Marie ne pouvait pas décrire ce qu'elle ressentait lorsqu'il l embrassait, une sorte de ... de paradis en faite. Elle n'était plus elle même, c'etait un peu comme si elle lui appartenait. Une idée pas du tout déplaisante...

- Tu me crois capable d'ainsi embrasser une fille comme ça, sans rien ressentir? Je t'aime Marie, plus que tu ne le crois...

Le jeune homme semblait boulvérsé par ses avoeux. Marie savait qu'elle allait être exposé à ne nombreux dangers à présent, et que cela risqué entrainer des complications. Mais elle s'en fichait complétement. Elle aprecia le moment de silence qu'il y eut juste avant qu'il l'embrasse. Comme pôur prolonger l'instant, ce moment parfait d'anticipation, parfois meilleur que le baiser lui même. Ses levres vinrent se poser sur les siennes. " Ce qu'il embrasse bien ... " ne put s'empecher de penser Marie qui repassa ses mains autours de lui et se rapprocha encore jusqu'a être presque entierement collé à lui. Elle était sur de trois choses. Un, il était le plus adorable Malefoy de sa famille. Deux, il était incroyable beau. Et trois, elle était irévocablement et follement amoureuse de lui. Elle posa ensuite sa tête dans son cou, sans lacher sa peau des lèvres et trouva son oreille et lui glissa en murmurant.

- Samuel Malefoy, je suis complétement folle de toi ...

"Mademoiselle Marie Weasley, me donnerez vous votre coeur?"

La jeune fille était blottie contre le torse du jeune homme, et ne demandé que à y rester. L'odeur de Sam' était enivrante et Marie eut beaucoup de mal à ne pas se rapprocher encore plus. Mais vu leur étreinte sérré, plus aurait été difficile. Il rester encore une bonne heure avant d'aller en cour, pas assez à son gout. Elle aurait vraiment aimé passer sa journée enlacé contre lui. Elle ne se lassait pas de le regarder, comme si sa parfaite beauté sufisait pour l'occuper. Elle posa sa tête dans son coup, posa ses lèvres sontre sa peau brulante. C'est à ce moment là que Sam' parla de sa voix de velour, il semblait pour la jeune fille qu'elle n'avait jamais rien entendue de plus beau, ni de plus romantique dailleurs. Il était ... parfait à ses yeux. Et elle se demandait bien ce qu'il pouvait lui trouver, à elle une fille tout ce qu'il y a de plus banale.

- Mademoiselle Marie Weasley, me donnerez vous votre coeur ?

Marie esquisa un sourie. Elle se croyait dans un vieux film ou l'acteur déballe un discour parfait. Qui à dit que la perfection n'avait jamais exister ? Objection, pensa marie, elle existe bien. Et on dirait qu'elle m'aime, vous y croyait vous ? Si je rêve, faîte moi plaisir et ne me réveiller que si je dors, parce que l'ange qui me sert dans ses bras se trouve être mon petit ami. Qui dit mieux ? Na !

- Il t'appartient déjà, tu ne crois pas ? Qu'on apporte les fers, je suis ta prisonière pour toujours !

Ce fut pourtant les mains de Marie qui emprisonèrent celle de Sam'. Elle vrilla son regard dans le sien et resta immobile. Comment un homme tel que Sam' pouvait la désirer ? Et combien de filles allaient être déçues ? Attention, Marie ne partageait pas l'incarnation de la beauté avec quelqu'un d'autre. La jeune fille pouvait mordre quand elle voulait... Quelques instants plus tard, Marie, n'y tenant plus, posa ses lèvres contre celle du beau jeune homme et ferma les yeux...

"Je veux pas partir, je veux juste rester là... Les cours vont tout casser, et je sais pas si on pourra se retrouver comme ça de sitôt... Gaby va très mal le prendre, je le sens..."

La jeune rouge et or retenait toujours emprisonner dans ses bras le cou de son amoureux, elle aurait voulu rester comme ca, toute la nuits, toute la journée, sans jamais le quitter. Marie sentit la langue de Samuel jouer avec la sienne. Elle adorait ca, ce petit instant qui lui était volé par son amant. La jeune Gryffondor jouait elle aussi et pour dire toute la vérité, elle croyait bien qu'elle ne s'en lasserait jamais, non, c'était une certitude. Il joua avec son nez, le mordilla un peu, ce qui fit rire la jeune fille. Comme pour se venger, elle lui fit des bisous dans le cou, puis tout doucement, remonta jusqu'a sa bouche. Elle rigola un peu en regardant Samuel dans les yeux, elle était heureuse. Elle avait l'impression d'être dans un autre monde, que plus rien n'exictait autour d'eux. Oui, ils étaient les seuls, ici, au paradis. Leurs paradis. La jeune Weasley pourrait lui parler de tout et de rien, ne lui cacher aucun secrer, elle avait en lui une confiance absolu et elle pourrait lui confier sa vie. Il embrassa son front.

- Je veux pas partir, je veux juste rester là... Les cours vont tout casser, et je sais pas si on pourra se retrouver comme ça de sitôt... Gaby va très mal le prendre, je le sens...

Marie contempla son petit ami et lui sourie. Ils leur restaient encore un peu de temps, et de plus le cour d'apres été double heure divination. Ils étaient tous deux des élèves sérieux, il pouraiit peut être ...

- Tu sais Sam', la divination est une matière que je haie. Et... franchement tu crois vraiment qu'on nous le repprochera ?

Elle était sûre que Sam' avait compris où elle voulait en venir. Elle n'avait encore jamais sécher, mais tout le monde l'avait fait au moins une fois dans sa vie - même sa mère avait loupé une année, mais c'était pour sauvé le monde des sorciers de Voldemort - donc pourquoi pas elle ? Au lieu de sauver le monde elle s'autorisais une heure de bécotage en plus. Qui y verais un inconvénient ? Pas elle en tout cas... Gaby par contre. Mais bon, ne mélangeons pas tout, on s'attaquerais

~~à la tempête~~ à l'ouragan de catégorie 1, plus tard XD

"Mmh... Te dévergonderais tu?"

La jeune demoiselle se laissa faire par son Don Juan, n'ayant jamais eu l'impréssion d'aimer autant quelqu'un. Il était tout simplement magnifique. Ces levres éffleurèrent son cou, la jeune fille trésaillit de plaisir. Elle le laissa faire, resistant à l'envie de s'emparer une nouvelle foie de ses lèvres. Il passa tendrement sa main autour de sa taille, l'attirant encore plus près. Elle était à présent coller contre son amoureux . Elle passa une de ses mains dans ses cheveux, tandis que l'autre rester enlacer au sol avec celle de Sam'.

- Mmh... Te dévergonderais tu?

Il ne lui laissa même pas le temps de répondre et l'embrassa fougeuseument. Soudain, la jeune fille se retrouva au sol, juste en dessous de son amoureux. Un rire s'echappa de la jeune fille, elle était tellement bien. Elle posa ses mains sur son torce et le fit tourner, se retrouvant juste dessus.

- Je pourais vous retourner la question jeune homme. Cela drevrait être interdit d'embrasser si bien ...

Sur ceux, elle déposa ses levres sur celle du jeune homme, bien décidé à ne jamais s'arreter. C'était le paradis. Elle ne lachait plus ses levres, prolongeant le baiser au maximum, ne s'arretant que pour que tout deux aient le temps de respirer. Comment étais ce possible d'aimer autant quelqu'un ?

"Il vaut mieux qu'on s'éclipse discrètement... Rien que tous les deux."