Dans la cuisne [terminé]

[vu que notre sujet c'est pris des vacances, j'ai rpis la liberté de le reprendre et te laisse y répondre mon cher Remus]

Dora avait du mal à reconnaître sa maison depuis quelque jour et la raison en était très simple...ses enfants étaient de retour...et oui c'était les vacances de noël...mais malgré cela, elle était très content de les avoir ici, même s'ils n'étaient pas très présent. Aussi ne fut-elle pas surprise en entrant dans sa cuisine ce matin là, la dernière fois qu'elle y était venu, un peu plus tôt dans la matinée, alors que la petite troupe n'était pas encore levé, la pièce ressemblait encore à une cuisine, alors que là, on aurait plutôt l’impression qu’un tornade y était passé. La table du petit déjeuné se trouvait sans dessus dessous. Certes ses enfants avaient du être pressé de partir…mais cela n’était pas une raison pour laisser un telle chantier…En s’avançant prêt de la table, elle remarqua des traces étrange dans le chocolat en poudre étalé sur la table…des traces de pas et en tournant la tête vers la fenêtre, elle pu voir sur le rebord de celle-ci, le chat des voisin ce lécher les babines tranquillement…Ainsi ses enfants n’étaient presque en rien responsable de se désordre, si ce n’était d’avoir laissé la fenêtre ouverte à cette intrus .

"Allait fou moi le camps sal bête"

Elle se mit alors en devoir, comme à son habitude, de ranger se désordre, qui, il fallait l’avouer, l’insupportait.

Elle avait quasiment terminé de tout rangé lorsqu’elle tomba sur une lettre. Dora était une femme très polie et respectueuse des affaires des autres, jamais elle n’aurait lu un courrier qui ne lui était pas adressé….et pourtant c’est ce qu’elle fit ce jour là…mais laissez moi vous dire pourquoi…En apercevant la lettre ouverte qui se trouvait dans se fouillis et qui plus est recouvert pour moitié de lait, de ce fait que la date en était illisible. Elle pu cependant en lire l’intitulé « Mon cher Remus… », elle s’apprêtait à reposer la lettre lorsque les mot qui suivirent, attirèrent son attention plus encore, l’entraînant à lire cette lettre, qui lui annoncé de bien triste nouvelle…encore une fois on sollicité Remus, ce dernier allait encore une fois partir et elle ne savait rien de ses projet…mais ce douté cependant qu’il allait répondre à cette appelle…ce pourquoi elle s’effondra sur une chaise, dos à la porte,en larme. Ne pouvait-il donc pas les laisser en paix un peu, leur laisser un peu de vie de famille. Elle aussi avait besoin de Remus, mais ça personne ne semblait le comprendre. Oui bien sur, elle avait ses enfant, mais cela ne fait pas tout…dans ses pensé, les yeux remplit de larme, elle n’entendit pas la porte d’entré s’ouvrir.

Il y’avait du monde sur le chemin, comme d’habitude d’ailleurs, Remus c’était rendu chez Ollivander pour corriger sa baguette qui avait attraper un petit défaut, même il y prenait grand soin. A son entré dans le magasin, Remus remarqua comme restait identique dans cette boutique, le temps semblait s’être arrêter a la porte du magasin, laissant cette endroit aussi identique a celui qu’il y’avait il y’a une bonne trentaine d’année. Il s’approcha du guichet, sachant très bien qu’il fallait se manifester pour se faire remarquer par le vendeur, qui devait rangé les centaine de baguette dans l’arrière boutique, puis Remus ne voulant pas passez sa matinée ici, décida d’appuyé sur sonnette posé sur le guichet. Un « Dring » retentit, et peu après un craquement de parquet résonnait sous les pas du vendeur qui approchait, d’ailleurs ce dernier surgit entre deux grande étagère, Remus remarqua que le vendeur avait changé, l s’agissait maintenant d’un jeune homme d’une vingtaine d’année assez svelte, les cheveux vert fluo redressé en pique sur la tête, un piercing au nez et il mâchouillait du chewing-gum, ça changeait vraiment du commerçant vieux tout rabougris qu’il y’avait, il y’a encore quelques jours. Remus regarda le jeune vendeur et le salua rapidement, puis lui annonça son problème ;

" Ma baguette semble se s’effriter au bout ! Au moindre sort ! Vous pouvez m’arranger ça s’il vous plaît ? "

" Tout de suite M’sieur ! "

Le jeune sorcier prit la baguette des mains de Remus et repartit au fond du magasin, derrière les grande étagère qui devait contenir une bonne centaine de baguette chacune, et encore. Pendant sa seconde attente, il fit quelque pas dans la boutique, regarda les quelques trucs qui traînait par-ci par-là, et revint à son emplacement initial ; devant le comptoir. Quand brusquement, la porte de la boutique s’ouvrit, laissant passer un courant d’air glacial, suivit d’un femme assez chic, une écharpe en fourrure autour du cou, un chapeau vert avec une longue plume de paon bleu, cette sorcière était vêtu d’une veste et robe verte, assortit a son chapeau, son visage était saupoudré de fond teint, lui donnant un teinte très pâle, encore plus pâle que celui de Remus après ses transformations. La femme était suivit d’un jeune homme d’une douzaine d’année, vêtu aussi d’un long manteau vert, le môme tenait une baguette dont l’extrémité avait explosé, la baguette fumait encore, Remus eu envie de rire voyant l’état du bout de bois, puis il écouta la conversation que la mère avait avec son fils ;

" Pourquoi tu as suivit le conseil de ton frère ! Un ? Tu peux me le dire Ronie ! Résultat ta baguette est cassé et tu as faillit faire explosé le gobelin ! Franchement ! Tu aurais pu avoir un grain de raison avant de suivre ton frère ! D’ailleurs tu sais où il est allé ? "

Remus ne pu entendre la suite puisque le jeune homme revenait avec une baguette tout neuve, il annonça donc à Remus ;

" Rien de grave ! Juste le bois de la baguette qui vieillit mal ! J’ai juste donné un petit coup cire rénovant ! Et voilà ! Votre baguette peut encore faire de nouvelle année ! "

" Merci bien ! Combien je vous dois ? "

" Laissez M’sieur ! Je vais quand même pas vous faire payer pour un coup de cire ! Cadeau de la maison ! "

R.J. Lupin fit un sourire au vendeur et le remercia a nouveau avant de ranger sa baguette a sa ceinture, puis il salua le vendeur a nouveau avant de sortir de la boutique, juste avant de franchir la porte il entendit le jeune commerçant s’exclamer sur l’état de la baguette du jeune garçon. Une fois à l’extérieur, Remus décida de rentrer directement chez lui, il faisait bien trop froid pour faire une ballade, alors il traça sa route main dans les poches, le visage a moitié caché par son écharpe.

Une fois arrivé chez lui, il posa son manteau et l’écharpe et remercia le chauffage qui circulait dans la maison, puis il entendit du bruit dans la cuisine, il s’y dirigea et ouvrit la porte pour jeter un coup d’œil, et vit sa femme de dos, assis sur une chaise, celle-ci semblait ne pas avoir fait attention, Remus s’approcha et remarqua la table qui occupé encore le petit déjeuné, enfin ce qu’il en restait, d’un geste doux il enlaça sa femme en passant ses mains froide dans son cou et s’apprêta a lui déposer un baiser un baiser sur la joue quand il remarqua quelque larme glisser sur le visage de Dora, Remus fronça les yeux dans l’incompréhension.

" Mais tu... qu’est qu’il y’a ? "

Il tira en chaise pour s’asseoir face à celle qu’il aimait le plus au monde. Il ne comprenait pas la raison de ses larme, puis bien vite elle vit un bout de papier taché dans les mains Dora, il lui retira doucement et passa un bref regard sur la paperasse, et se rendit compte qu’il s’agissait d’une vielle lettre qui datait bien avant Noël, il broya la lettre jusqu'à en faire une boule puis la jeta dans la poubelle.
Remus regarda Dora, il n’aimait pas la voir ainsi, maintenant il savait que ses départ répétitif lui faisait du mal, il le savait au fond de lui mais ne l’avait jamais vu comme ça, il fallait dire que Remus partait toujours vers les trois heures du matin quand tout le monde dormait, maintenant il voyait le chagrin de sa moitié, et cela le gêna presque, il prit passa sa main sur les joues de Dora pour lui essuyer les larmes, puis il la regarda tendrement ;

" Si c’est cette lettre…tu n’as pas de soucis à te faire ! Elle date de d’un mois déjà…c’est du passé ! Je vais pas partir d’aussi tôt crois moi ! Je…désolé pour toute ses absences…je… "

Remus ne savait pas quoi dire, bref il voulait rattraper tout ce temps perdu, d’abord il fallait qu’il ait une discutions avec Dora, c’est vrai qu’il ne donnait pas beaucoup de ses nouvelles, ni de ce qu’il faisait, et il s’avoua que ce n’était pas respectueux envers cette mère de famille qui avait du gérer tout le reste de la famille a elle toute seul.

" Tu veux qu’ont parle ? Je crois que tu dois avoir des choses à me demander ou bien simplement à dire ! J’ai tout le temps ! Vas-y je t’écoute ! "

Un vide, un immense vide...Celui de l'incompréhension avait pris place dans l'esprit de Dora...Pourquoi....Pourquoi...Pourquoi...Voilà le mot qui hantait et vagabondait dans son esprit. Assise sur la chaise la plus proche qu'elle avait pu trouver, elle cherchait à comprendre, mais qui avait-il vraiment à comprendre. Elle avait relut la lettre, bien que difficilement lisible, mais cela n'avait fait qu'accroitre les larmes sur son visage. A chaque départ de Remus, elle se montrait forte pour ses enfants, même si sa peine n'en était pas moins présente, elle ne voulait le montrer, car elle pensait à celle de ses enfants, et surtout à celle de Nathan qui lui restait à la maison. Elle se devait d'être forte pour lui, pour le réconforter...Mais aujourd'hui, cette lettre l'avait anéantie, peut être avait-elle craqué plus facilement car elle était seule, dans la maison, pas d'enfant pas de marie...
Pourtant, elle sentit un courant d'air frais entrer dans la maison... Certainement un enfant, il ne viendrait pas dans la cuisine aussi ne prit-elle pas la peine ni de se retourner, ni de sécher les larmes sur ses joues..Puis l'instant d'après, elle se trouva enlacé tendrement, par la douceur de deux bras qu'elle connaissait bien, ceux de Remus, ce dernier allait vite remarquer ses larmes...ce fut chose faite.-Mais tu... qu’est qu’il y a?- Il se plaça devant elle, le regard tendre et amoureux. Elle n'arrivait pas le regardait, les yeux encore trop rougie et remplie de larmes. Elle n'arrivait pas non plus à répondre à sa question, la réponse en était trop douloureuse encore. Mais elle nu pas à le faire, ce fut lui qui, certainement en voyant la lettre compris -Si c’est cette lettre…tu n’as pas de soucis à te faire ! Elle date de d’un mois déjà…c’est du passé ! Je vais pas partir d’aussi tôt crois moi ! Je…désolé pour toute ses absences…je…- Elle le regarda enfin et on pouvait voire se dessiner sur son visage un fin sourire de soulagement, mais les mots eux ne voulait pas sortir, ou bien elle ne voulait-elle rien dire, de peur de le faire souffrir lui et pourtant. Mais ce fut Remus qui l'invita à parler -Tu veux qu’ont parle ? Je crois que tu dois avoir des choses à me demander ou bien simplement à dire ! J’ai tout le temps ! Vas-y je t’écoute !-
Alors, comme à bout de force et de trop de souffrance, elle pris les main de son marie dans les sienne

"Ne part plus je t'en supplie ne part plus...les enfants ont besoin de leur père et....et moi j'ai besoin de mon marie...Quand tu part je ne sais jamais ou tu va, ou tu es, si tu va bien...Je me demande chaque instant si tu vie encore...ne part plus..j'ai peur pour toi..ne par plus si loin..."

Elle s'était par la suite jeté dans ses bras, le serrant fort, comme avec la peur que se dernier parte une nouvelle fois...Elle ne le voulait plus...

[HJ...je ne suis pas encore au courant de ton poste de professeur à Poudlard...a très vite]

Remus sentit la pression qu'exercer Dora sur lui, ses bras le serrait très fort, il en fit de même avec moins d’intensité, ne voulant pas faire mal a celle qui souffrait énormément des départ imprévue, des manques de nouvelle du père de famille. Il était vrai, et d’ailleurs il savait, qu’il ne donnait jamais de ses nouvelles, tout du moins c’était rare, sois par sécurité quand il s’agissait de mission pour l’ordre, ou bien c’était parce qu’il n’y pensait pas, tiens ! En ne disant qu’il n’y pensait pas, Un pic sembla lui transpercer la poitrine, il faisait preuve d’égoïsme, mais pourtant il savait que ce n’était pas facile pour Dora, mais pourquoi il prenait pas plus contact avec.

Pour l'instant il fallait qu’il console son grand amour, jamais il ne l’avait vu dans cette état, pourtant il en avait traversé des moments difficile, ce n’était pas ce qui manquait a cette famille. Après s’être entrelacé longuement, Remus se retira délicatement des bras de sa femme, continuant de lui tenir les mains, et la regarda, mais il avait du mal, après tout c’était a cause de lui qu’elle était ainsi, et apparemment les enfant sen souffrait aussi, dans sa tête il s’insulta de tout les noms qu’il trouvait, il ne se reconnaissait pas d’avoir été aussi distant envers les siens, il ne pouvait pas faire marche arrière, pourtant il aurait bien voulu, mais non, cependant il pouvait faire attention a l’avenir, et ça il ne cessait de ce le dire.

Il jeta un bref coup d’œil sur la table qui était encore embarrassé par quelque tâche de chocolat et de miette, bref il sorti ça baguette et d’un geste circulaire et rapide les quelques bols déjà empilé se téléportèrent dans l’évier, les miettes de pain ainsi que les trace de confiture, les goutte de chocolat dégagèrent la table, en quelques seconde la table avait regagner son état d’origine, puis deux café apparurent sur la table, Remus fit apparaître aussi une serviette en papier, puis il essuya les larmes qui voulaient sur le joli visage de Dora, elle était bien plus jolie comme ça, bien que les larme avait rougit légèrement le contour de ses yeux.

" Tiens ! Bois ça ! Sa te fera le plus grand bien… "

Dit-il en poussant l’une des tasse chaude vers elle, puis la fenêtre de la cuisine se ferma, leur discutions ne devait pas se faire entendre, sa ne regardait que eux, bien maintenant, comment allait il calmer sa moitié, déjà une chose était sûr il n’allait pas partir d’aussi tôt, pourquoi ? Et bien parce que maintenant le Mister Lupin avait un métier qui demandait une grande présence, déjà cela devrait rassurer Dora, Remus prit une gorgé de café, puis reprit les mains de Tonks et la regarda avec un doux sourire ;

" Bon ! Écoute ! J’ai quelque chose qui devrais te faire plaisir…tout du moins j’espère ! Il y’a un mois j’ai rencontré le directeur de Poudlard ! J’ai demandé une place au post de professeur et il a accepté ! Donc maintenant les seules fois où je partirais ce sera pour faire des cours et je reviendrais aussitôt le soir ! Et même parfois les après midi si mon emploi du temps n’est pas chargé ! Je te garantie que c’est bien la fin des long moment où on ne se voyait pas ! Sache que même si je ne donnais pratiquement aucune nouvelle ! Je pensais souvent a toi et aux enfants ! Je ne veux pas que tu croient que je partaient sans pensé a vous ! Bien au contraire ! Maintenant on va passer plus de temps ensemble ! Alors qu’est que tu en penses ? "

Il passa une main sur les joue de Dora, encore humidifié par les larmes qui glissait il y’a quelques minutes encore, il se retenu lui-même d’exprimer ses sentiments, il ne voulais pas, son cœur battait la chamade et lui faisait presque mal, il bu encore une gorgé de café chaud, puis resta un moment, le regard, vers la fenêtre, puis il lança ; " Tu as du sûrement du me haïr pendant que tu étais toute seul ! Cependant je comprends ! C’était égoïste de ma part de ne pas avoir gardé un contact fréquent ! Mais…je…enfin…maintenant il faut se dire que c’est du passé ! Un ? "

Elle était bien, là, blotti tout contre lui, dans ses bras, bien que ce fut elle qui avait lancé l’étreinte, elle se sentait en sécurité dans ses bras, comme protéger par ses bras, par cette amour….ce trouvait ainsi dans ses bras, lui rappelé de bon souvenir…cela lui rappelé les moment passé ensemble, juste après la naissance de Nath’, juste avant que le cauchemar ne recommence, avant que Remus et elle-même ne durent parcourir le monde pour diverse raison et qu’a bien des fois, leur vie soit mise en péril…car bien des fois elle aurait pu se retrouvait veuve…ce pourquoi, aujourd’hui, elle appréciait plus que tout cette étreinte et sa chaleur…pour rien au monde, elle n’aurait voulu la suspendre…pourtant ce fut la cas…l’impression que tout doucement il partait, qu’il cherchait à s’éloigner de nouveau…ne lui apportait-elle plus ce qu’il y 16 ans maintenant elle lui avait fait découvrir….Pourtant, il ne partait pas, il voulait simplement la regardait elle, et la rassurer…lui tenant toujours les mains avec tendresse. Leurs regard plongé dans celui de l’autre…elle venait alors seulement de comprendre le sens de ses mots, de ce qu’elle avait dit un peu plutôt….elle l’avait accusé, accusé de partir loin de sa famille, loin d’elle…alors qu’elle le savait très bien, il le faisait pour eux, pour les protéger…

il n’y avait pas de parole, seulement l’échange de leur regard et leur geste…Elle fut touché par le façon qu’il eu, d’essuyer ses larmes sur sa joue, avec tellement de douceur et d’amour. Puis avec un mince sourire, elle attrapa la tasse de café qu’il lui tendait…oui, il avait raison, cela ne pourrait lui faire que du bien. Elle bu alors une gorgé, ce liquide chaud qui coulé dans sa gorge, fut comme un soulagement, il était à la fois réconfortant et apaisant…relevant les yeux vers Remus, elle lui adressa un autre léger sourire plein de tendresse…Puis ce dernier reprit la parole…de ce qu’il était en train de dire, elle ne retint que quelques mots : Poudlard, professeur, accepté, plus de temps ensemble…Elle avait bien sur entendu toute la conversation, mais ce fut ces mots là qui avait marqué son esprit, on pouvait alors voir s’afficher sur son doux visage, rougie par les larmes et fin sourire de bonheur. Elle s’avança alors doucement vers lui et déposa sur ses lèvres un doux baisé au goût de café. Puis ce dernier repris la parole…Elle aurait pu parler, mais elle ne savait que dire, ce pourquoi elle l’écouté, elle le regardait avec amour et envie.

« Non je ne t’ai pas haïe, mais je t’en ai un peu voulu j’avoue…Mais je réalise aujourd’hui que si tu partais ce n’était pas pour nous faire souffrir, mais pour nous protéger, mais je ne le comprend qu’aujourd’hui…et ne considère pas cela comme le passé, même si c’est vrai, c’est notre vie…et je ne veux pas que tu change, je t’aime comme tu es »….

Elle l’embrassa à nouveau, avec une tendresse infinie

« Mais je dois avoué qu’aujourd’hui, je suis la femme la plus heureuse du monde, car la nouvelle de ton poste me réchauffe le cœur…mais…ne va tu pas être triste de ne plus voyager, toi qui aimait tellement ça ? »

Remus reprit goût au baisé de ça femme, c’était bien, agréable, ça lui manquait, ce petit goût de café était pas mauvais en plus, bien au contraire. Et bien ! D’après tout ça, elle semblait être heureuse de savoir qu’il avait trouvé un post, et il le savait bien qu’elle serait contente. Et Remus lui adressa un grand sourire quand elle lui dit qu’elle était la femme la plus heureuse du monde.

Il passa ses main sur les hanches de Dora et l’attira de façon a ce qu’elle se pose sur ses jambes, puis il l’enlaça, et l’embrassa avec sa tendresse habituel, puis il fit mine de réfléchir quand elle demanda si ses voyages n’allait pas lui manquer, Remus eu une petit rire, puis regarda son amour dans les yeux, et lui dit avec ironie ;

" Mmmm ! Maintenant que j’y pense ! Je devrais en faire un grand et long voyage maintenant !"

Bien sûr, il ne pensait pas le moindre mot de ses paroles, et pis quoi encore, il venait juste de promettre à Dora qu’il allait cesser les départs, si il lui annonçait sur un coup de tête, qu’il partait, il pourrait bien se retrouver avec une armée de couteau dans le dos et d’avoir de bonne jambes pour courir. Non ! Les voyages de la sorte n’allaient pas lui manquer, au contraire, cela allait le reposer même si il travaillait, mais ce travail de professeur était bien moins fatiguant, c’était du tout cuit, enfin par moment, il fallait comme même gérer ses adolescents, dont certains était en pleine crise d’identité, c’était pas jolie à voir.

" Tu sais ! Les voyages je crois que partir sur un balai sous la pluie, le vent l’orage, n’est pas un grand luxe ! Je pourrais facilement m’en passer ! Et si j’ai envie de voyager ! Ce sera avec toi ! D’ailleurs on pourrait peut être pour les prochaines vacances ! Je sais que le ministère ne te laisse pas toujours le choix mais tu pourrais demander deux, trois semaines ! Et on irait dans un endroit…chaud, plage, mer, soleil ! A moins que tu recherches quelque chose de plus froid ! Alors dans ce cas montagne ou autre ! Ce serait bien qu’ont partent ! Loin, de tout ! L’Ordre, le travaille ! Tu vois ce que je veux dire ? Prendre congé dans un endroit qui nous changerait les idées ! "

Lui dit-il, en appuyant ça tête sur son épaule, tout en la regardant. Cela faisait bien longtemps qu’ils ne partaient plus pour les grandes vacances, entre les réunions, les escortes, entre le ministère qui appelait souvent Dora pour bosser une semaine supplémentaire et lui qui partait par-ci par-là, Remus se rendit compte qu’ils semblaient plus avoir le temps de se détendre, pourtant ils devaient au moins partir, eux et les enfants, ses derniers étaient assez grand pour se débrouiller seul, ils avaient passé l’âge d’être surveillé à part le dernier. En repensant à tout ça, il avait envie de partir en vacance maintenant, mais il rêvé là, de vrai vacance, loin du chemin de traverse, de Londres, de tout pendant quelques semaines. Mais fallait il pouvoir posséder ce temps, et c’était peu probable.

" Il faudra qu’ont voient ça plus tard ! Mais ont le fera ! Je te le garantie ! D’ailleurs ce soir…je t’emmène au resto ! J’en ai repéré un dans le quartier moldus ! Et d’après les rumeurs c’est un bon endroit pour passer de bonne soirée en tête à tête ! Et pour Nathan…on pourrait demander à la voisine si…il va encore nous faire une tête de troll ! Ou bien il vient avec nous ! Ce serait bien ! Non ?…je sais pas ! Tu en penses quoi toi ? Vous acceptez l’invitation d’un homme amoureux ? "

Demanda t-il, en jouant sur le vouvoiement, avec un grand sourire, puis il embrassa Dora, et la regarda, attendant la réponse de cette dernière, cette sortie restaurant allait être une sorte de nouveau départ pour le couple, comme pour célébré les moments où il ne faisait que de s’apercevoir entre deux missions, mais bon, il fallait trouver pour Nathan, et oui ! Ils n’allaient quand même pas le laisser tout seul ce p’tit bout, il pourrait faire brûler la maison, ou bien resté coincé dans la cheminé a force de l’utilisé, et pis c’était irresponsable de laisser un enfant de 6 ans tout seul, si il ne trouvait pas de moyen de garde, ils l’emmèneraient avec eux, après tout ça ne pouvait pas lui faire du mal au jeune Lupin de sortir.

« petit imbécile va »

« Et bien je pense avoir bien mérité quelque semaines de vacances, avec le travail que je fournit…non ? et puis même sans leur accord je les prendrait »

« J’accepterait beaucoup de chose venant de votre par Monsieur, et encore plus ce genre d’invitation »

Voyant que l’idée de voyage ne déplaisait pas à Dora, Remus se dit donc qu’il pourrait dans un moment assez éloigné, se retirer dans un autre endroit que le chemin de traverse et ses environs. Mais pour l’instant, il faudra se contenter d’un rue de Londre moldus, dans un de leur somptueux restaurant, d’ailleurs sil ne regretta pas cette invitation puisqu’il reçu un autre baisé, avant de finir par terre, et le rire de Dora fut accompagné par celui de Remus. Le couple resta au sol, comme si il voulait rester en mode carpette.
Il reprit Dora par la taille et l’embrassa à nouveau, avant d’être interrompue par un miolement, il regarda sa femme avec un air surpris ;

" On a un chat ? "

Demanda t-il, restant au sol avec Dora, puis il se releva à moitié, et regarda la table, une grosse boule touffu de poil grise était assit, regardant le couple au sol. Remus soupira, et se remit en tête qu’il ne s’agissait pas d’un chat de la famille, celui là était aux voisins. Le félin les fixé de ses grand yeux rond ;

" Ce truc me fait vraiment peur par fois ! "

Dit-il, en dévisageant la chose poilus qui les ne lâchait d’une minute, l’animal étai toujours chez eux, il se demandait bien pourquoi, il n’y avait rien qui pouvait attiré les chat ici, à part la nourriture, et les quelques souris qui circule dans la cave. Commençant un peu a en avoir raz le bol de mettre se chat dehors avec calme, il décida de changer un peu la façon de faire, il attrapa sa baguette et la pointa sur le félin qui d’un seul coup fut éjecté de la table dans un rugissement, la fenêtre se referma après que le chat y sois passé a la vitesse d’un fusée.
" Une chose de faite ! Peut être qu’il ne reviendra plus ! C’est bête ! Mais par moment je me demande si c’est pas le vieux voisin d’en face qui se transformer en chat pour venir espionné ici ! Tu sais ! Il paraît qu’il à déjà fait ça à la voisine d’à côté ! Juste au moment où elle se changeait ! "

Il rigola, puis regarda Dora avec un sourire presque taquin ;
" Tu devrais faire attention ! Tu pourrais être son prochain spectacle ! "

Puis avant qu’elle ne réplique, il posa ses lèvres sur celle de Dora et l’embrassa, comme pour empêcher un autre ; « petit imbécile « ou a une couleur de cheveux farfelu.
Puis il finit par se levé, en prenant les mains de sa chère femme pour l’aider à se ramasser ;
"Bon ! Sinon ! On a reçu des hiboux ? "
Dit-il, en jetant un coup d’œil sur la petite pile de papier.

Ils restèrent un moment à terre…cela pouvait paraître étrange, mais Dora trouvait cette situation amusante et romantique. Et puis cela faisait longtemps que notre couple n’avait rie ainsi et cela leur faisait du bien. L’instant de bonheur pourtant fut interrompu par ce qui ressemblait à un miaulement, ce qui un effet radical sur Remus…il faut dire aussi qu’il n’aimait pas du tout les chat, certain son coté loup qui le rendait ainsi, mais dora aimait ce coté là de Remus, on pourrait même dire qu’elle l’en aimait encore plus, rien que pour cela. Dora afficha un sourire, face à cette réaction.

« Bien sur que non Remus et tu le sais bien »

Devant être agacé par sa présence, il sortit sa baguette et l’expulsa en dehors de la cuisine, d’ailleurs, tout simple dehors. Ce qui relança un fou rire à Dora. En une seule et même journée, elle n’aurait jamais pensé pouvoir rire autant, un chose et sur, elle n’aurait pas aimé être à la place du chat...heureusement…puis Remus parla des exploit de leur fameux voisin, qui était pour le moins farfelu, au passage et de ce qu’il pourrait être capable de faire, elle aurait voulu répliquer, mais son cher époux ne lui en laissa pas le temps. Et ce fut avec subtilité, qu’il changea bien vite de sujet.

« Ben il y a là quelque facture, dont je me suis déjà occupé, je te rassure » Et oui, elle avait pris en charge tout ce qui concerné la maison, puis que Mr lupin n’était que peu présent. « Et le reste son des lettres sans grande importance, mais il n’y a aucun courrier pour vous Mr Lupin »

Elle marqua un temps, venant de se rappeler, que dans cette fameuse pile de lettre sans importance, comme elle l’avait si bien dit, il y en avait une qui lui était adressait, elle était de Mione, elle avait répondu à un invitation que Dora lui avait envoyé quelque jours avant, et elle devait se retrouver cette après midi même…Dora avait complètement oublier avec tout ses événements. Elle embrassa Remus.

« Je…., j’ai oublié Hermione, je dois y aller, elle doit m’attendre*l’embrassant encore une fois* A ce soir mon amour…au restaurant… »

Au non, elle n’avait pas oublié, et puis cela leur ferait du bien de se retrouver tout les deux en tête à tête.

» Une ronde qui se termine en altitude
» dans la nuit....
» Un fraudeur dans les cuisines ?!
» Lupin dans les gradins